Autres articles
-
Émeutes au Royaume-Uni: la communauté musulmane sous tension, les mosquées protégées
-
Israël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et NetanyahuIsraël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et NetanyahuIsraël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et Netanyahu
-
Les figures démocrates saluent la décision de Joe Biden, les républicains appellent à sa démission
-
Affaire 1xbet : Le verdict est tombé pour Samuel Eto’o
-
Manifestations au Kenya: le président Ruto annonce le retrait du projet de budget
Le Procureur général égyptien a ordonné mercredi que l'ex-président Hosni Moubarak, actuellement en détention dans un hôpital militaire, retourne en prison car son état de santé est "stable", a indiqué une source judiciaire.
M. Moubarak, qui aura 85 ans en mai, doit être transféré vers la prison de Tora, en banlieue du Caire. Son nouveau procès pour complicité dans le meurtre de manifestants et corruption doit s'ouvrir le 11 mai.
La date du nouveau procès de Moubarak fixée au 11 mai
La Cour d'appel du Caire a fixé la date du 11 mai pour le nouveau procès de l'ex-président égyptien Hosni Moubarak, accusé de complicité dans le meurtre de manifestants et de corruption, a indiqué mercredi une source judiciaire.
Le procès se tiendra devant la Cour pénale du nord du Caire sous la présidence de Mahmoud al-Rachidi, a-t-elle précisé.
Ce nouveau procès devait commencer le 13 avril mais le juge s'est récusé lors d'une audience qui n'a duré que quelques secondes, en renvoyant le dossier à la Cour d'appel pour qu'elle choisisse une nouvelle juridiction.
Le magistrat est mis en cause pour avoir acquitté des responsables du régime déchu dans le procès de la fameuse "bataille des chameaux", accusés d'avoir envoyé des hommes de main à cheval et à dos de chameau pour attaquer des manifestants anti-Moubarak début février 2011.
M. Moubarak et son ancien ministre de l'Intérieur Habib el-Adli avaient été condamnés en première instance à la réclusion à perpétuité pour la mort de manifestants pendant la révolte qui a contraint l'ex-président à la démission.
Ils vont être rejugés, ainsi que six anciens responsables de la sécurité, pour complicité dans le meurtre et tentative de meurtre de manifestants du 25 au 31 janvier 2011.
Les fils de M. Moubarak, Alaa et Gamal, vont comparaître tout comme leur père pour corruption. L'homme d'affaires en fuite Hussein Salem sera également jugé dans la même affaire.
7sur7
7sur7