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La loi a été approuvée par une majorité de sénateurs, emmenés par la coalition gouvernementale, tandis que l'opposition a voté contre, un mois après l'approbation du texte par la Chambre basse.
Shinzo Abe ne perd pas espoir de convaincre Trump
Le Premier ministre japonais Shinzo Abe, qui a rencontré mi-novembre à New York le président élu américain, s'est fait l'avocat déterminé du TPP. Dans un monde où enfle une vague "protectionniste", "le Japon a la responsabilité de défendre haut l'importance du TPP", avait-il insisté récemment, ne perdant pas l'espoir de convaincre M. Trump de changer d'avis. Car selon ses propres termes, "le TPP sans les États-Unis n'aurait pas de sens".
Le TPP contre la Chine
Le TPP, vu comme un contrepoids à l'influence grandissante de la Chine, a été signé en 2015 après de longues années de négociation par 12 pays bordant l'océan Pacifique, représentant près de 40% de l'économie mondiale (Etats-Unis, Australie, Brunei, Canada, Chili, Japon, Malaisie, Mexique, Nouvelle-Zélande, Pérou, Singapour et Vietnam).
Un accord "terrible" pour les travailleurs américains, estime Trump
Il doit être ratifié par le Congrès américain pour entrer en vigueur. Or Donald Trump, qui sera investi 45e président des Etats-Unis le 20 janvier, a annoncé qu'au premier jour de son mandat il engagerait le retrait des Etats-Unis du TPP, un accord "terrible" qui "viole" les intérêts des travailleurs américains selon lui.
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