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Pour en savoir plus, il faudra attendre mercredi matin la parution du journal tunisien La Presse. Mais ces propos confirment la volonté de Moncef Marzouki de trouver rapidement une sortie de crise, politique avant tout, et une issue « arabe » au conflit syrien.
Le président tunisien avait déjà déclaré multiplier les propositions vendredi devant les 60 pays qui participaient à la conférence sur la Syrie, conférence organisée en Tunisie. Moncef Marzouki avait notamment souhaité que soit accordée l'immunité judiciaire à Bachar el-Assad, à sa famille et à des membres de son régime.
Moncef Marzouki avait ensuite suggéré de voir si la Russie pouvait offrir un endroit où le président syrien pouvait se réfugier. Une déclaration très vite commentée par la présidence russe qui avait demandé à Moncef Marzouki de ne pas parler au nom du Kremlin. C'est peut-être ce qui explique aujourd'hui cette nouvelle proposition.
La Tunisie et le Qatar ont aussi suggéré vendredi de déployer une force arabe de paix mais cette option n'a pour l'instant pas convaincu l'ensemble des pays amis du peuple syrien
Le président tunisien avait déjà déclaré multiplier les propositions vendredi devant les 60 pays qui participaient à la conférence sur la Syrie, conférence organisée en Tunisie. Moncef Marzouki avait notamment souhaité que soit accordée l'immunité judiciaire à Bachar el-Assad, à sa famille et à des membres de son régime.
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