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"Le Kremlin ne possède pas de kompromat sur Donald Trump", a déclaré aux journalistes le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, utilisant un terme hérité du jargon soviétique pour désigner des informations compromettantes recueillies contre des personnes susceptibles d'être soumises à un chantage.
Document de 35 pages
Plusieurs médias américains ont rapporté mardi l'existence d'un document de 35 pages détaillant des informations présentées comme compromettantes sur Donald Trump, comme l'existence alléguée d'une vidéo à caractère sexuel filmée clandestinement lors d'une visite à Moscou en 2013 par les services russes.
Échanges supposés avec Moscou
Le document, rédigé par un ancien agent du contre-espionnage britannique, jugé crédible par le renseignement américain, fait également état d'échanges supposés de renseignements pendant plusieurs années entre Donald Trump, ses proches et le Kremlin, dans les deux directions.
Le contenu de ces pages n'a pas été certifié par des sources officielles.
"C'est une falsification totale"
"C'est une falsification totale. (...) La fabrication de tels mensonges est une tentative évidente de faire du tort à nos relations bilatérales" avant l'investiture de Donald Trump, favorable à un rapprochement avec Moscou, a poursuivi M. Peskov. "Certaines personnes attisent cette hystérie", a ajouté le porte-parole du Kremlin, qualifiant l'affaire, à l'instar de M. Trump, de "chasse aux sorcières".
Démenti total
"Le Kremlin ne cherche pas à obtenir de kompromat ", a martelé M. Peskov, niant également posséder des informations compromettantes sur la rivale démocrate de M. Trump, Hillary Clinton. La Russie a toujours démenti être à l'origine d'une quelconque ingérence dans l'élection présidentielle américaine, comme l'en accusent les agences de renseignement à Washington.
Document de 35 pages
Plusieurs médias américains ont rapporté mardi l'existence d'un document de 35 pages détaillant des informations présentées comme compromettantes sur Donald Trump, comme l'existence alléguée d'une vidéo à caractère sexuel filmée clandestinement lors d'une visite à Moscou en 2013 par les services russes.
Échanges supposés avec Moscou
Le document, rédigé par un ancien agent du contre-espionnage britannique, jugé crédible par le renseignement américain, fait également état d'échanges supposés de renseignements pendant plusieurs années entre Donald Trump, ses proches et le Kremlin, dans les deux directions.
Le contenu de ces pages n'a pas été certifié par des sources officielles.
"C'est une falsification totale"
"C'est une falsification totale. (...) La fabrication de tels mensonges est une tentative évidente de faire du tort à nos relations bilatérales" avant l'investiture de Donald Trump, favorable à un rapprochement avec Moscou, a poursuivi M. Peskov. "Certaines personnes attisent cette hystérie", a ajouté le porte-parole du Kremlin, qualifiant l'affaire, à l'instar de M. Trump, de "chasse aux sorcières".
Démenti total
"Le Kremlin ne cherche pas à obtenir de kompromat ", a martelé M. Peskov, niant également posséder des informations compromettantes sur la rivale démocrate de M. Trump, Hillary Clinton. La Russie a toujours démenti être à l'origine d'une quelconque ingérence dans l'élection présidentielle américaine, comme l'en accusent les agences de renseignement à Washington.