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Quatre mois pour la rédiger, une semaine pour en faire la promotion, trois jours entre son vote par referendum et la proclamation des résultats et moins de 30 minutes pour la cérémonie de promulgation : cette Constitution n’est pas loin de pouvoir figurer dans le Livre des records pour la rapidité avec laquelle elle a été conçue et adoptée.
Devant l’ensemble de son gouvernement, le président de l’Assemblée nationale Guillaume Soro, le président Alassane Ouattara a rappelé que ce texte a pour but de tourner la page d’une décennie de crise. « Le vent de la démocratie a de nouveau soufflé sur la Côte d’Ivoire, a-t-il assuré, ajoutant que les promesses de la IIIe République sont des promesses de paix, de stabilité, d’égalité et de modernité. »
Un discours auquel n’adhère pas l’opposition politique ivoirienne qui, pour mémoire, à boycotté le referendum et conteste encore le résultat des urnes.
Reste à savoir désormais qui sera le vice-président que nommera Alassane Ouattara puisque cela est prévu dans le texte. Ce ne sont pas les candidats potentiels qui manquent.
Un choix qui se fera sans doute en bonne intelligence avec l’ex-président Konan Bédié qui a été consulté pour cette nouvelle Constitution qui met fin notamment au concept d’ivoirité. Un président Bédié qui n’a pas assisté à cette cérémonie pourtant historique de passage à la IIIe République.
Devant l’ensemble de son gouvernement, le président de l’Assemblée nationale Guillaume Soro, le président Alassane Ouattara a rappelé que ce texte a pour but de tourner la page d’une décennie de crise. « Le vent de la démocratie a de nouveau soufflé sur la Côte d’Ivoire, a-t-il assuré, ajoutant que les promesses de la IIIe République sont des promesses de paix, de stabilité, d’égalité et de modernité. »
Un discours auquel n’adhère pas l’opposition politique ivoirienne qui, pour mémoire, à boycotté le referendum et conteste encore le résultat des urnes.
Reste à savoir désormais qui sera le vice-président que nommera Alassane Ouattara puisque cela est prévu dans le texte. Ce ne sont pas les candidats potentiels qui manquent.
Un choix qui se fera sans doute en bonne intelligence avec l’ex-président Konan Bédié qui a été consulté pour cette nouvelle Constitution qui met fin notamment au concept d’ivoirité. Un président Bédié qui n’a pas assisté à cette cérémonie pourtant historique de passage à la IIIe République.