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Le promoteur Aziz Ndiaye aimait se démarquer de son frère ainé dans la lutte, Gaston Mbengue et disait à haute et intelligible voix que ce sport rapporte beaucoup d’argent aux promoteurs. Un discours qu’il a, avec entêtement, tenu jusqu’au jour il a heurté le mur. Le dernier combat ayant mis aux prises Eumeu Sène et Modou Lô.
Depuis lors, le patron d’Aziz Productions semble avoir mis de l’eau dans son vin. Il arpente les mêmes méthodes que le don King de l’arène et ne parle que de pertes maintenant. Gaston rit sous cape.
Selon lui, son combat ne lui a rien rapporté en termes de bénéfices. « J’ai dépensé plus de 260 millions de francs Cfa pour tout le combat et je reste devoir aux lutteurs plus de 40 millions de reliquat. Alors que les recettes au guichet ne dépassaient même pas 40 millions de francs Cfa. Pour le jeu SMS qui a accompagné le choc, j’ai dépensé plus de 100 millions et je n’ai gagné que 35 millions de francs », avait-il évalué. Tout dernièrement, il a du être sauvé par son sponsor, un des opérateurs économique pour ne pas perdre pied. Comme quoi, un peu de prudence et de sobriété ne feraient pas de mal…
LERAL
Depuis lors, le patron d’Aziz Productions semble avoir mis de l’eau dans son vin. Il arpente les mêmes méthodes que le don King de l’arène et ne parle que de pertes maintenant. Gaston rit sous cape.
Selon lui, son combat ne lui a rien rapporté en termes de bénéfices. « J’ai dépensé plus de 260 millions de francs Cfa pour tout le combat et je reste devoir aux lutteurs plus de 40 millions de reliquat. Alors que les recettes au guichet ne dépassaient même pas 40 millions de francs Cfa. Pour le jeu SMS qui a accompagné le choc, j’ai dépensé plus de 100 millions et je n’ai gagné que 35 millions de francs », avait-il évalué. Tout dernièrement, il a du être sauvé par son sponsor, un des opérateurs économique pour ne pas perdre pied. Comme quoi, un peu de prudence et de sobriété ne feraient pas de mal…
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