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C'est sans doute l'étape la plus périlleuse dans l'instruction menée par les juges des chambres africaines extraordinaires (CAF) crées par l'Union africaine (l'UA) pour traduire en justice les principaux responsables des crimes internationaux commis au Tchad entre 1982 et 1990. En compagnie d'experts argentins, ces juges sont en train de procéder à des exhumations de cadavres dans les différents sites où des charniers ont été découverts.
A la recherche de ces corps à Deli, une partie des juges d'instruction sénégalais y seront également accompagnés par les experts argentins. Le travail d'exhumation terminé, les experts argentins avec échantillons d'ossements, et les deux groupes de juges d'instruction sénégalais rejoindront Ndjamena, la capitale du Tchad, après demain jeudi 05 juin 2014. Et pendant deux semaines, ils vont travailler sur l'identification des ossements prélevés dans les charniers. On ignore encore si les résultats de ce travail d'identification seront divulgués. Mais tout laisse croire que les tchadiens retiennent déjà leur souffle à la seule idée de replonger encore dans ces souvenirs douloureux.
A Ndjamena,réside déjà un troisième groupe de juges d'instruction des chambres africaines extraordinaires constitués en pool judiciaire et qui continuent, pour leur part, d'auditionner les derniers témoins.
L'Obs
A la recherche de ces corps à Deli, une partie des juges d'instruction sénégalais y seront également accompagnés par les experts argentins. Le travail d'exhumation terminé, les experts argentins avec échantillons d'ossements, et les deux groupes de juges d'instruction sénégalais rejoindront Ndjamena, la capitale du Tchad, après demain jeudi 05 juin 2014. Et pendant deux semaines, ils vont travailler sur l'identification des ossements prélevés dans les charniers. On ignore encore si les résultats de ce travail d'identification seront divulgués. Mais tout laisse croire que les tchadiens retiennent déjà leur souffle à la seule idée de replonger encore dans ces souvenirs douloureux.
A Ndjamena,réside déjà un troisième groupe de juges d'instruction des chambres africaines extraordinaires constitués en pool judiciaire et qui continuent, pour leur part, d'auditionner les derniers témoins.
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