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« Nous sommes déçus car en écoutant le président (sud-africain, Jacob) Zuma, nous avons eu l’impression que ces chefs d’Etat sont venus conforter (Pierre) Nkurunziza dans son 3e mandat », a déclaré Charles Nditije, président de l’aile d’opposition du parti Uprona (une frange minoritaire de l’Uprona est au gouvernement).
Le président Zuma a invoqué « le respect des décisions du Conseil constitutionnel dans un État de droit » qui avait entériné le troisième mandat, « puis il a également évoqué la nécessité d’un dialogue inclusif à l’extérieur du pays, sans toutefois envisager de pressions sur ce pouvoir », a rapporté M. Nditije.
Le président sud-africain est à la tête de cette délégation, composée également des présidents mauritanien, sénégalais, gabonais et du Premier ministre éthiopien.
Le Burundi est plongé depuis 10 mois dans une crise politique profonde, née de la volonté du président Pierre Nkurunziza de se maintenir au pouvoir pour un troisième mandat, qu’il a obtenu en juillet.
La grande majorité des représentants de l’opposition et de la société civile, qui avaient été en pointe dans la contestation contre le 3e mandat du président Nkurunziza, est actuellement en exil.
La rencontre entre la délégation de l’UA et le président burundais, initialement prévue jeudi, a finalement été reportée à vendredi matin.
Une conférence de presse est également prévue en fin de matinée, avant que les chefs d’États africains ne rentrent chez eux.
Le gabonais Ali Bongo a déjà quitté le Burundi dans la nuit de jeudi à vendredi.
Les violences au Burundi, désormais armées, ont déjà fait plus de 400 morts et poussé plus de 240.000 personnes à quitter le pays. Des organisations de défense des droits de l’homme ont dénoncé l’existence de fosses communes, de nombreux cas d’exécutions sommaires et d’assassinats ciblés.
BBC AFRIQUE
Le président Zuma a invoqué « le respect des décisions du Conseil constitutionnel dans un État de droit » qui avait entériné le troisième mandat, « puis il a également évoqué la nécessité d’un dialogue inclusif à l’extérieur du pays, sans toutefois envisager de pressions sur ce pouvoir », a rapporté M. Nditije.
Le président sud-africain est à la tête de cette délégation, composée également des présidents mauritanien, sénégalais, gabonais et du Premier ministre éthiopien.
Le Burundi est plongé depuis 10 mois dans une crise politique profonde, née de la volonté du président Pierre Nkurunziza de se maintenir au pouvoir pour un troisième mandat, qu’il a obtenu en juillet.
La grande majorité des représentants de l’opposition et de la société civile, qui avaient été en pointe dans la contestation contre le 3e mandat du président Nkurunziza, est actuellement en exil.
La rencontre entre la délégation de l’UA et le président burundais, initialement prévue jeudi, a finalement été reportée à vendredi matin.
Une conférence de presse est également prévue en fin de matinée, avant que les chefs d’États africains ne rentrent chez eux.
Le gabonais Ali Bongo a déjà quitté le Burundi dans la nuit de jeudi à vendredi.
Les violences au Burundi, désormais armées, ont déjà fait plus de 400 morts et poussé plus de 240.000 personnes à quitter le pays. Des organisations de défense des droits de l’homme ont dénoncé l’existence de fosses communes, de nombreux cas d’exécutions sommaires et d’assassinats ciblés.
BBC AFRIQUE