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L’Afrique a-t-elle accepté de faire le sale boulot que la Cour Pénale Internationale (CPI) n’a pas voulu faire : juger Hissène Habré en violation des principes du droit pénal international ? Le marchandage financier qui a précédé la création des Chambres Africaines Extraordinaires (CAE),l’incohérence et l’arbitraire du bricolage judiciaire qui a accouché des CAE, l’impartialité des promoteurs et sponsors du procès contre Habré, ternissent irrémédiablement la crédibilité du procès. Un regard neutre peut y entrevoir une farce internationale destinée à camoufler un complot politico-judiciaire ayant un seul objectif : la TÊTE de Habré à tout PRIX. C'est l'analyse d' Aliou TALL,
Président du Réseau Africain de Défense des Usagers, des Consommateurs et du Citoyen (RADUCC)
Président du Réseau Africain de Défense des Usagers, des Consommateurs et du Citoyen (RADUCC)