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Au 15 septembre, "un total cumulé de 72 cas (d'Ebola) ont été enregistrés parmi lesquels 14 cas ont été confirmés positifs après analyse au laboratoire, 32 cas sont probables et 26 cas suspects, et 32 décès ont été enregistrés", a-t-on appris auprès de l'OMS à Kinshasa.
Un bébé né prématuré "dans le centre d'isolement d'Isiro (principal foyer de l'épidémie) d'une mère infectée par le virus d'Ebola était encore vivant tandis que sa mère est décédée samedi", a-t-on précisé.
En RDC, qui a connu huit épisodes d'Ebola, c'était la première fois qu'une femme enceinte atteinte du virus accouchait, car "Ebola et grossesse sont presque incompatibles", avait souligné après la naissance le ministre de la Santé, le Dr Félix Kabange Numbi.
Selon l'OMS, 23 personnels de santé font partie des personnes infectées, dont cinq sont décédées, et 215 personnes ayant été en contact avec des malades sont sous surveillance. Elle précise que le cas le plus récent d'Ebola ayant été confirmé remonte à vendredi.
L'état d'épidémie a été déclaré mi-août en Province orientale (nord-est), mais le comité international de lutte contre Ebola a conduit une recherche rétrospective remontant au mois de mai. Bilan au 13 septembre: 31 décès, dont 9 confirmés en laboratoire comme étant dus à Ebola.
Le ministère de la Santé, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le Centre de Contrôle des Maladies (CDC-Atlanta) et Médecins Sans Frontières (MSF) travaillent en étroite collaboration pour lutter contre la maladie.
"Une enquête d'épidémiologie active est en cours pour identifier toutes les chaînes possibles de transmission de la maladie, et assurer que les mesures appropriées sont immédiatement prises pour interrompre la transmission, et arrêter l'épidémie", indique un communiqué de l'OMS à Genève publié mardi.
A ce jour, il n'existe ni traitement ni vaccin contre la fièvre hémorragique Ebola, qui tue entre 25 et 90% des malades, selon l'OMS. La maladie se transmet par contact direct avec le sang, les secrétions corporelles (sueur, selles. . . ), par voie sexuelle et par la manipulation sans précaution de cadavres contaminés.
Source: jeuneafrique.com
Un bébé né prématuré "dans le centre d'isolement d'Isiro (principal foyer de l'épidémie) d'une mère infectée par le virus d'Ebola était encore vivant tandis que sa mère est décédée samedi", a-t-on précisé.
En RDC, qui a connu huit épisodes d'Ebola, c'était la première fois qu'une femme enceinte atteinte du virus accouchait, car "Ebola et grossesse sont presque incompatibles", avait souligné après la naissance le ministre de la Santé, le Dr Félix Kabange Numbi.
Selon l'OMS, 23 personnels de santé font partie des personnes infectées, dont cinq sont décédées, et 215 personnes ayant été en contact avec des malades sont sous surveillance. Elle précise que le cas le plus récent d'Ebola ayant été confirmé remonte à vendredi.
L'état d'épidémie a été déclaré mi-août en Province orientale (nord-est), mais le comité international de lutte contre Ebola a conduit une recherche rétrospective remontant au mois de mai. Bilan au 13 septembre: 31 décès, dont 9 confirmés en laboratoire comme étant dus à Ebola.
Le ministère de la Santé, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le Centre de Contrôle des Maladies (CDC-Atlanta) et Médecins Sans Frontières (MSF) travaillent en étroite collaboration pour lutter contre la maladie.
"Une enquête d'épidémiologie active est en cours pour identifier toutes les chaînes possibles de transmission de la maladie, et assurer que les mesures appropriées sont immédiatement prises pour interrompre la transmission, et arrêter l'épidémie", indique un communiqué de l'OMS à Genève publié mardi.
A ce jour, il n'existe ni traitement ni vaccin contre la fièvre hémorragique Ebola, qui tue entre 25 et 90% des malades, selon l'OMS. La maladie se transmet par contact direct avec le sang, les secrétions corporelles (sueur, selles. . . ), par voie sexuelle et par la manipulation sans précaution de cadavres contaminés.
Source: jeuneafrique.com