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L'ancien conseiller officieux de l'Elysée avait expliqué en septembre dans la presse avoir remis à plusieurs reprises des valises de billets entre 1995 et 2005 au président de la République de l'époque et à son secrétaire général.
Le parquet avait ouvert une enquête préliminaire et demandé son audition afin de déterminer quelles suites judiciaires pouvaient être données à ses accusations.
Robert Bourgi affirmait avoir effectué lui-même ces versements provenant selon ses dires de plusieurs chefs d'Etat africains. Il avait estimé à vingt millions de dollars les sommes en cause.
Cependant, les allégations de l'avocat "n'ont pu être confortées par un quelconque élément de preuve susceptible de motiver des investigations", a souligné le parquet.
En outre, à supposer que les remises de fonds soient avérées, l'infraction serait de toute façon prescrite en raison de la période visée (1997-2005), a-t-on précisé de même source.
Gérard Bon, édité par Patrick Vignal
PARIS (Reuters)
Le parquet avait ouvert une enquête préliminaire et demandé son audition afin de déterminer quelles suites judiciaires pouvaient être données à ses accusations.
Robert Bourgi affirmait avoir effectué lui-même ces versements provenant selon ses dires de plusieurs chefs d'Etat africains. Il avait estimé à vingt millions de dollars les sommes en cause.
Cependant, les allégations de l'avocat "n'ont pu être confortées par un quelconque élément de preuve susceptible de motiver des investigations", a souligné le parquet.
En outre, à supposer que les remises de fonds soient avérées, l'infraction serait de toute façon prescrite en raison de la période visée (1997-2005), a-t-on précisé de même source.
Gérard Bon, édité par Patrick Vignal
PARIS (Reuters)