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La révélation a été faite par le directeur de la Division des sciences et techniques à la Commission de l’Union africaine (UA), Mahama Ouedraogo, au cours d’un atelier d’information sur la subvention du programme GMES-Afrique. Cette rencontre, qui s’est ouverte mercredi à Dakar, regroupe plusieurs experts de la CEDEAO et de l’Union africaine (UA).
‘’L’UA ne cesse de promouvoir l’intégration à l’échelle du continent, pour impulser un développement endogène durable et inclusif mais aussi l’UE pour son accompagnement financier’’, a-t-il dit, rapporte l’agence de presse sénégalaise.
La première phase de l’initiative, d’une durée de trois ans, est d’un coût global de 30 millions d’euros, cofinancée par la Commission européenne, à travers le Fonds panafricain, pour un montant de 29,5 millions d’euros et la Commission de l’UA, à raison de 1,5 million d’euros.
‘’On peut mieux faire si on montre l’importance de ce que cette initiative amène en termes de services et de bien-être aux peuples africains’’, a indiqué le directeur de la Division des sciences à l’UA. Il ajoute que « c’est donc un défi pour nous tous à relever« .
La première phase se mettra en place avec une subvention de 17,5 millions d’euros qui couvriront le service relatif à l’eau et aux ressources naturelles et celui relatif aux zones marines et côtières, a détaillé M. Ouedraogo.
Revenant sur l’atelier, il a indiqué les lignes directrices établissant les règles et les procédures de soumission, d’évaluation et de sélection, ainsi que de mise en œuvre des actions financées dans le cadre de l’appel à propositions, conformément aux dispositions du manuel de gestion des subventions de la Commission de l’UA.
‘’Elles fournissent aux candidats des informations pertinentes sur le programme de soutien (GMES-Afrique), les domaines prioritaires de l’appel et les résultats escomptés’’, a-t-il précisé.
En outre, il a souligné que les lignes directrices informent les candidats sur la façon dont les résultats seront communiqués et publiés. Selon lui, l’initiative GMES-Afrique s’appuie sur l’UA et l’UE, pour permettre à l’Afrique et à l’Europe de relever les défis mondiaux, mais aussi pour promouvoir le développement durable. Cet atelier de deux jours (1er-2 mars) prend fin jeudi.
GMES Afrique œuvre au renforcement des capacités et au développement des infrastructures qui permettront aux utilisateurs africains de faire une exploitation intensive et cohérente des données, technologies et services d’observation de la Terre (depuis l’espace et in situ), indique-t-on.
Cela contribue à l’élaboration de politiques environnementales qui soient favorables au développement durable en Afrique et dans les États ACP.
‘’L’UA ne cesse de promouvoir l’intégration à l’échelle du continent, pour impulser un développement endogène durable et inclusif mais aussi l’UE pour son accompagnement financier’’, a-t-il dit, rapporte l’agence de presse sénégalaise.
La première phase de l’initiative, d’une durée de trois ans, est d’un coût global de 30 millions d’euros, cofinancée par la Commission européenne, à travers le Fonds panafricain, pour un montant de 29,5 millions d’euros et la Commission de l’UA, à raison de 1,5 million d’euros.
‘’On peut mieux faire si on montre l’importance de ce que cette initiative amène en termes de services et de bien-être aux peuples africains’’, a indiqué le directeur de la Division des sciences à l’UA. Il ajoute que « c’est donc un défi pour nous tous à relever« .
La première phase se mettra en place avec une subvention de 17,5 millions d’euros qui couvriront le service relatif à l’eau et aux ressources naturelles et celui relatif aux zones marines et côtières, a détaillé M. Ouedraogo.
Revenant sur l’atelier, il a indiqué les lignes directrices établissant les règles et les procédures de soumission, d’évaluation et de sélection, ainsi que de mise en œuvre des actions financées dans le cadre de l’appel à propositions, conformément aux dispositions du manuel de gestion des subventions de la Commission de l’UA.
‘’Elles fournissent aux candidats des informations pertinentes sur le programme de soutien (GMES-Afrique), les domaines prioritaires de l’appel et les résultats escomptés’’, a-t-il précisé.
En outre, il a souligné que les lignes directrices informent les candidats sur la façon dont les résultats seront communiqués et publiés. Selon lui, l’initiative GMES-Afrique s’appuie sur l’UA et l’UE, pour permettre à l’Afrique et à l’Europe de relever les défis mondiaux, mais aussi pour promouvoir le développement durable. Cet atelier de deux jours (1er-2 mars) prend fin jeudi.
GMES Afrique œuvre au renforcement des capacités et au développement des infrastructures qui permettront aux utilisateurs africains de faire une exploitation intensive et cohérente des données, technologies et services d’observation de la Terre (depuis l’espace et in situ), indique-t-on.
Cela contribue à l’élaboration de politiques environnementales qui soient favorables au développement durable en Afrique et dans les États ACP.