On connait parfaitement les conditions du bon fonctionnement de l'économie, mais on ne le dit pas au public. Sur le marché intérieur-le gros de notre économie-les seuls clients des entreprises sont les salariés et les entreprises elles-mêmes et leurs patrons. Si les entreprises-les clients-dépensent un certain pourcentage de plus entre elle chaque année-pour les investissements, mais aussi pour les salaires lesquels sont redépensés chez elles-les entreprises vendent produisaient et gagnent donc obligatoirement plus et de ce même pourcentage; et le chômage serait rapidement absorbé.
Les entreprises ne s'enrichissent, certes, pas en argent à la longue; mais elles s'équipent et s'agrandissent par l'investissements de leurs bénéfices. L'argent ne fait que revenir, par les ventes, aux entreprises. Mais il ne manque donc pas et au besoin, on peut en créer à volonté par le crédit puisqu'il n'est qu'un moyen d'échange-achat et vente, des produits ou services-qui sera supprimé lorsque le crédit sera remboursé comme on rend un outil prété après s'en etre servi; sa quantité totale varie donc peu tandis que les biens crées s'ajoutent chaque année dans les entreprises et chez les particuliers ou sont consommés.
Les grands économistes et les universitaires le savent-mais le public l'ignore complètement.
Tout ceci est encore valable pour l'économie entière si autant d'argent rentre dans le pays qu'il en sort( balance de paiements équilibrée) ce qui est le plus souvent le cas dans nos pays. Il faut se libérer de l'emprise des média qui nous suggèrent qu'un profane ne peut pas avoir de jugement dans le domaine de l'économie. Un enfant de 10, 12 ans peut comprendre l'ensemble de notre économie: vendre et acheter= échanger; produire et dépenser mutuellement plus = échanger plus =s'enrichir plus en biens. Tout découle de là.
L'économie est, certes, plus complexe. Mais les différents facteurs ( le taux d'intérêts du crédit, les impôts, les commandes de l'Etat, le cours de la monnaie, la bourse, etc...) n'agissent sur l'économie que dans la mesure ou ils ont pour résultat que les entreprises dépensent plus ou dépensent moins. Et la science économique ne semble ardue que parce que les économistes prétendent pouvoir prédire le comportement, à cet égard des entreprises- des centaines de mille- ce qui est évidemment impossible; d'ou la divergence des théories et leurs insuccès. Par contre, il est également évident qu'aucun fait dans l'économie habituelle- ni à l'intérieur ni à l'extérieur du pays- ne peut empêcher les entreprises qui réalisent des bénéfices de dépenser davantage entre elles ( en partie par l'intermédiaire des achats des salariés)-et même sensiblement sans augmenter les prix- et de gagner ainsi chaque année davantage si elles y sont toutes décidées. Tout dépend donc de nous-mêmes, c'est-à-dire de nos entreprises.
Ce n'est pas une théorie, un projet -c'est la description de la croissance économique, du simple au double et plus, en pouvoir d'achat ( des salaires, des investissements, des ventes, des bénéfices) dans les pays dits industrialisés- surtout depuis plus de cinquante longue années. Il suffirait de poursuivre le même comportement, mais sciemment et plus systématiquement.(Rappelons qu'une augmentation sensible par an seulement, par exemple, mènerait à un doublement de revenus en 10 ans. Ceci demanderait, certes, un minimum de coordination peut-être aussi des mesures telles que des impôts plus élevés sur les bénéfices importants non-investis, un certain contrôle des prix ou aussi une aide ( à l'adaptation, etc ), aux entreprises qui n'auraient pas profité assez des achats accrus ( tandis que d'autres gagneraient alors obligatoirement d'autant plus). Mais ce sont là les seuls vrais problèmes- quoique secondaires-les seuls qui méritent qu'on y travaille puisqu'on pourrait être sur du résultat.
Au lieu de celà on parle au public comme si nos pays- tels que certains pays peu développés, ou en voie de développement- vivaient de la vente à l'exportation("chercher des marchés nouveaux", "se contenter de peu pour etre compétitif"). Alors que ce ne sont pas là nos problèmes, le volume des exportations étant-ou non suffisant...On nous dit qu'on ne peut pas dépenser plus avant de n'avoir gagner plus alors que c'est le contraire: plus les entreprises dépensent et plus elles gagnent ( du moins, en biens sinon toujours en argent).
En particulier on nous répète à satiété que l'augmentation des salaires fait diminuer les bénéfices des entreprises- comme si celà allait de soi-alors que les bénéfices( recettes de vente moins dépenses) au moins d'une bonne partie des entreprises- celles ( fabricants et magasins) dont les ventes proviennent des achats des salariés- non seulement ne diminuent pas, mais augmentent, au contraire, proportionnellement dans le cas d'une augmentation génèrale des salaires( ce qui est d'ailleurs une preuve flagrante que l'économie fonctionne autrement qu'on veut nous faire croire)...
On entretient l'inquiètude au sujet de la valeur de l'argent alors qu'il serait si simple de faire savoir, une fois pour toutes, que notre argent fait fonction de titres de créance et qu'il est alors entièrement garanti par les marchandises en stock et autres biens des entreprises qui ont reçu cet argent en crédit. On parle" d'inflation" au lieu d'expliquer au public que l'argent, mème abondant, garderait rigoureusement sa valeur si les entreprises n'augmentaient pas constamment les prix sans y etre obligées par cette abondance puisqu'il y a abondance de produits pour honorer ces "créances" etc..
Il faudrait cesser d'occuper le public, les citoyens, avec de faux problèmes.
Pape Keita
Rédacteur chroniqueur.
Journaliste-Expert en communication.
Les entreprises ne s'enrichissent, certes, pas en argent à la longue; mais elles s'équipent et s'agrandissent par l'investissements de leurs bénéfices. L'argent ne fait que revenir, par les ventes, aux entreprises. Mais il ne manque donc pas et au besoin, on peut en créer à volonté par le crédit puisqu'il n'est qu'un moyen d'échange-achat et vente, des produits ou services-qui sera supprimé lorsque le crédit sera remboursé comme on rend un outil prété après s'en etre servi; sa quantité totale varie donc peu tandis que les biens crées s'ajoutent chaque année dans les entreprises et chez les particuliers ou sont consommés.
Les grands économistes et les universitaires le savent-mais le public l'ignore complètement.
Tout ceci est encore valable pour l'économie entière si autant d'argent rentre dans le pays qu'il en sort( balance de paiements équilibrée) ce qui est le plus souvent le cas dans nos pays. Il faut se libérer de l'emprise des média qui nous suggèrent qu'un profane ne peut pas avoir de jugement dans le domaine de l'économie. Un enfant de 10, 12 ans peut comprendre l'ensemble de notre économie: vendre et acheter= échanger; produire et dépenser mutuellement plus = échanger plus =s'enrichir plus en biens. Tout découle de là.
L'économie est, certes, plus complexe. Mais les différents facteurs ( le taux d'intérêts du crédit, les impôts, les commandes de l'Etat, le cours de la monnaie, la bourse, etc...) n'agissent sur l'économie que dans la mesure ou ils ont pour résultat que les entreprises dépensent plus ou dépensent moins. Et la science économique ne semble ardue que parce que les économistes prétendent pouvoir prédire le comportement, à cet égard des entreprises- des centaines de mille- ce qui est évidemment impossible; d'ou la divergence des théories et leurs insuccès. Par contre, il est également évident qu'aucun fait dans l'économie habituelle- ni à l'intérieur ni à l'extérieur du pays- ne peut empêcher les entreprises qui réalisent des bénéfices de dépenser davantage entre elles ( en partie par l'intermédiaire des achats des salariés)-et même sensiblement sans augmenter les prix- et de gagner ainsi chaque année davantage si elles y sont toutes décidées. Tout dépend donc de nous-mêmes, c'est-à-dire de nos entreprises.
Ce n'est pas une théorie, un projet -c'est la description de la croissance économique, du simple au double et plus, en pouvoir d'achat ( des salaires, des investissements, des ventes, des bénéfices) dans les pays dits industrialisés- surtout depuis plus de cinquante longue années. Il suffirait de poursuivre le même comportement, mais sciemment et plus systématiquement.(Rappelons qu'une augmentation sensible par an seulement, par exemple, mènerait à un doublement de revenus en 10 ans. Ceci demanderait, certes, un minimum de coordination peut-être aussi des mesures telles que des impôts plus élevés sur les bénéfices importants non-investis, un certain contrôle des prix ou aussi une aide ( à l'adaptation, etc ), aux entreprises qui n'auraient pas profité assez des achats accrus ( tandis que d'autres gagneraient alors obligatoirement d'autant plus). Mais ce sont là les seuls vrais problèmes- quoique secondaires-les seuls qui méritent qu'on y travaille puisqu'on pourrait être sur du résultat.
Au lieu de celà on parle au public comme si nos pays- tels que certains pays peu développés, ou en voie de développement- vivaient de la vente à l'exportation("chercher des marchés nouveaux", "se contenter de peu pour etre compétitif"). Alors que ce ne sont pas là nos problèmes, le volume des exportations étant-ou non suffisant...On nous dit qu'on ne peut pas dépenser plus avant de n'avoir gagner plus alors que c'est le contraire: plus les entreprises dépensent et plus elles gagnent ( du moins, en biens sinon toujours en argent).
En particulier on nous répète à satiété que l'augmentation des salaires fait diminuer les bénéfices des entreprises- comme si celà allait de soi-alors que les bénéfices( recettes de vente moins dépenses) au moins d'une bonne partie des entreprises- celles ( fabricants et magasins) dont les ventes proviennent des achats des salariés- non seulement ne diminuent pas, mais augmentent, au contraire, proportionnellement dans le cas d'une augmentation génèrale des salaires( ce qui est d'ailleurs une preuve flagrante que l'économie fonctionne autrement qu'on veut nous faire croire)...
On entretient l'inquiètude au sujet de la valeur de l'argent alors qu'il serait si simple de faire savoir, une fois pour toutes, que notre argent fait fonction de titres de créance et qu'il est alors entièrement garanti par les marchandises en stock et autres biens des entreprises qui ont reçu cet argent en crédit. On parle" d'inflation" au lieu d'expliquer au public que l'argent, mème abondant, garderait rigoureusement sa valeur si les entreprises n'augmentaient pas constamment les prix sans y etre obligées par cette abondance puisqu'il y a abondance de produits pour honorer ces "créances" etc..
Il faudrait cesser d'occuper le public, les citoyens, avec de faux problèmes.
Pape Keita
Rédacteur chroniqueur.
Journaliste-Expert en communication.