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Quelques heures après son interpellation jeudi dans la matinée, le pasteur Paul-Joseph Mukungubila a été remis en liberté sous caution. Mais Kinshasa dit attendre la décision de son extradition dans les prochaines "48 heures".
Interpellé le 15 mai à 6 heures du matin à son domicile, situé dans la banlieue de Johannesburg (Afrique du Sud), le pasteur Paul-Joseph Mukungubila, accusé par Kinshasa d'avoir fomenté les attaques du 30 décembre dans la capitale congolaise et dans deux autres villes du pays, a été remis en liberté provisoire. "Il a payé une caution de 5 000 rands (environ 500 dollars)", selon une source proche du dossier en Afrique du Sud.
>> Lire aussi : quatre choses à savoir sur Mukungubila
Extradition dans 48 heures ?
La décision du tribunal de Johannesburg ne décourage pas les autorités congolaises qui espèrent toujours que l'Afrique du Sud, dans le "cadre de la SADC [Communauté pour le développement de l'Afrique australe, NDRL]", répondra favorablement à la requête d'extradition formulée par la RDC. Cette réponse est attendue "d'ici 48 heures", a fait savoir Lambert Mende, le porte-parole du gouvernement congolais.
"Mukungubila demande l'asile en Afrique du Sud. Nous comptons donc sur les autorités sud-africaines pour ne pas l'extrader en RDC", a rétorqué un proche du pasteur recherché par Kinshasa. La balle est dans le camp de Pretoria…
Jeuneafrique
Interpellé le 15 mai à 6 heures du matin à son domicile, situé dans la banlieue de Johannesburg (Afrique du Sud), le pasteur Paul-Joseph Mukungubila, accusé par Kinshasa d'avoir fomenté les attaques du 30 décembre dans la capitale congolaise et dans deux autres villes du pays, a été remis en liberté provisoire. "Il a payé une caution de 5 000 rands (environ 500 dollars)", selon une source proche du dossier en Afrique du Sud.
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Extradition dans 48 heures ?
La décision du tribunal de Johannesburg ne décourage pas les autorités congolaises qui espèrent toujours que l'Afrique du Sud, dans le "cadre de la SADC [Communauté pour le développement de l'Afrique australe, NDRL]", répondra favorablement à la requête d'extradition formulée par la RDC. Cette réponse est attendue "d'ici 48 heures", a fait savoir Lambert Mende, le porte-parole du gouvernement congolais.
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