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«Je suis plus préoccupé à préparer mon combat qu’à faire autre chose. Le Comité de gestion de la lutte a mis en place un nouveau règlement, tout lutteur condamné ne serait-ce que pour 15 jours, on lui reprend sa licence et mon combat est déjà prévu, à la fin de cette saison», a expliqué Saloum Saloum au juge.
Tout en sanglots, il reprend : «j’étais parti à Grand Yoff, voir des fans à moi, mais le lieu où j’étais est réputé être un lieu de trafic de drogue. Cependant, je ne fais pas partie de cette pratique de vente ou de consommation de chanvre indien». Et se détournant carrément des débats, Saloum Saloum fera, donc, part au juge de son palmarès ; une manière pour lui de dire qu’il est dans la cour des grands.
«J’ai eu 36 combats, j’ai fait un combat avec Balla Gaye…», ajoute-t-il, les bras croisés. Le nommé A. Barry, extrait de sa cellule pour donner sa part de vérité, a confié au juge n’avoir jamais dit aux enquêteurs que c’est le lutteur son fournisseur en héroïne. Suffisant pour la représentante du Ministère public de requérir la relaxe du lutteur Saliou Samb.
Selon elle, aucun élément objectif n’a été présenté au juge pour lui permettre d’entrer en voie de condamnation. La défense, quant à elle, a préféré s’en rapporter aux réquisitions du Parquet. Finalement, Saloum Saloum a été relaxé. Il peut alors retourner à ses préparatifs de son combat avec Domou Dawour pour lequel a-t-il dit, il a déjà empoché la somme de 5 millions.
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