Le ministère public a justifié sa requête en pointant une « violation du code de procédure ». Il informe que l’un des conseillers, présent à l’audience, n’avait pas pris part à la délibération. Il avait été remplacé par un de ses collègues, ce qui ne serait pas conforme avec l’orthodoxie.
Une nouvelle chance pour Luc Nicolaï. D’autant que dans ses réquisitions, l’avocat général n’a pas évoqué le mandat d’arrêt décerné par la Cour d’appel à l’accusé, qui n’a pas comparu à l’audience.
La chambre criminelle a renvoyé le délibéré de l’affaire au 15 décembre.