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Le phénomène a toujours existe dans le milieu du sport d’une manière générale. Malgré les ravages qu’il engendre dans le domaine sanitaire. Le cas de Maradona reste frais dans la mémoire des férus de toutes les disciplines confondues. Le joueur argentin a été hospitalisé plusieurs fois, pour un traitement. Malheureusement ces inconvénients ne dissuadent toujours pas les pratiquants. La raison, Jacques Rogge, le trouve dans la nature humaine. Le président du CIO qui s'est exprimé sur l'évolution de la lutte contre le dopage n’est pas encore convaincu de la disparition de ce fléau. Selon le Belge, ce fléau ne cessera jamais d'exister puisque « la tricherie est dans la nature humaine». Pourtant actuellement, lors des compétitions, le contrôle est sévère. D’ailleurs en France, Péguy Luyindula, écarté de l'équipe première du PSG, continue d'être le joueur cible de l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).
Chaque année, l’Agence française de lutte contre le dopage suit un joueur bien précis dans chaque effectif pour assurer le suivi le plus complet des déplacements d’un joueur. Cette saison, comme la précédente, c’est Péguy Luyindula qui est ce joueur référence. Mais l’international français ne fait plus partie du groupe d’Antoine Kombouaré : « Je ne savais pas que c’était encore moi, et comme je suis écarté du groupe professionnel, je ne fais plus part de ma localisation. Et si un contrôleur me cherchait, il ne me trouverait pas avec les autres joueurs pros puisque je n’ai plus le droit d’y être. C’est quand même surréaliste…», a déclaré le joueur au journal Le Parisien mardi.
Chaque année, l’Agence française de lutte contre le dopage suit un joueur bien précis dans chaque effectif pour assurer le suivi le plus complet des déplacements d’un joueur. Cette saison, comme la précédente, c’est Péguy Luyindula qui est ce joueur référence. Mais l’international français ne fait plus partie du groupe d’Antoine Kombouaré : « Je ne savais pas que c’était encore moi, et comme je suis écarté du groupe professionnel, je ne fais plus part de ma localisation. Et si un contrôleur me cherchait, il ne me trouverait pas avec les autres joueurs pros puisque je n’ai plus le droit d’y être. C’est quand même surréaliste…», a déclaré le joueur au journal Le Parisien mardi.