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Au sommet d'une colline, au soleil couchant, deux peshmergas discutent de la journée qu'ils viennent de vivre. Singer montre du doigt un autre vallon, en face de nous. « Il y avait trois snipers sur cette colline, dit-il. Ils nous tiraient dessus, mais nous sommes arrivés à les tuer en tirant au mortier. Nous avons également réussi à faire exploser la sortie du tunnel qui menait à la colline, mais l'entrée depuis Bachika est toujours intacte. Les terroristes s'y cachent et il pourrait en sortir pour se faire exploser. »
Les peshmergas continuent de lutter âprement dans Bachika. Hier, les forces kurdes sont en effet arrivées à entrer dans la ville mais les sous-sols de la ville contiennent de nombreux tunnels creusés par l’organisation Etat islamique. Beaucoup de jihadistes se cachent dans ces souterrains. Les maisons sont également entièrement minées, les peshmergas ne peuvent pour l’instant pas entrer dans les bâtiments afin de s’assurer qu’aucun terroriste ne s’y cache. La reprise totale de la ville prendra donc du temps.
La « der » pour les Kurdes
Pourtant ce mardi, Bachika serait « sous le contrôle total » des peshmergas. C'est ce qu'a affirmé au téléphone à l'AFP Jabbar Yawar, secrétaire général du ministère de la région autonome du Kurdistan irakien chargé des forces de sécurité.
Mais les combats continuent, affirme notre envoyée spéciale, Oriane Verdier, et la situation n'est pas encore stabilisée. Ce qu'a concédé aussi le colonel Dilshad Mawlud, un responsable média des peshmergas à l'AFP, évoquant la présence de poches de résistance jihadistes.
L’organisation Etat islamique avait parfaitement préparé sa résistance. De la même manière, sur le front est de Mossoul, des forces spéciales irakiennes ont peine à avancer dans les quartiers de la ville. Ils ont lancé l’assaut sur la deuxième ville d’Irak sans attendre que les fronts nord et sud soient également aux frontières de la deuxième ville d'Irak. La résistance de l’organisation Etat islamique est donc très forte. Mais cette ville devrait être la dernière bataille des peshmergas contre le groupe EI.
Les peshmergas continuent de lutter âprement dans Bachika. Hier, les forces kurdes sont en effet arrivées à entrer dans la ville mais les sous-sols de la ville contiennent de nombreux tunnels creusés par l’organisation Etat islamique. Beaucoup de jihadistes se cachent dans ces souterrains. Les maisons sont également entièrement minées, les peshmergas ne peuvent pour l’instant pas entrer dans les bâtiments afin de s’assurer qu’aucun terroriste ne s’y cache. La reprise totale de la ville prendra donc du temps.
La « der » pour les Kurdes
Pourtant ce mardi, Bachika serait « sous le contrôle total » des peshmergas. C'est ce qu'a affirmé au téléphone à l'AFP Jabbar Yawar, secrétaire général du ministère de la région autonome du Kurdistan irakien chargé des forces de sécurité.
Mais les combats continuent, affirme notre envoyée spéciale, Oriane Verdier, et la situation n'est pas encore stabilisée. Ce qu'a concédé aussi le colonel Dilshad Mawlud, un responsable média des peshmergas à l'AFP, évoquant la présence de poches de résistance jihadistes.
L’organisation Etat islamique avait parfaitement préparé sa résistance. De la même manière, sur le front est de Mossoul, des forces spéciales irakiennes ont peine à avancer dans les quartiers de la ville. Ils ont lancé l’assaut sur la deuxième ville d’Irak sans attendre que les fronts nord et sud soient également aux frontières de la deuxième ville d'Irak. La résistance de l’organisation Etat islamique est donc très forte. Mais cette ville devrait être la dernière bataille des peshmergas contre le groupe EI.