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Après une matinée à Villeurbanne (Rhône), le candidat socialiste Manuel Valls est arrivé sur les terres bretonnes, à Lamballe (Côtes-d’Armor) en milieu d’après-midi. Accompagné de Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense et président de la région Bretagne, Manuel Valls a d’abord été reçu à la mairie.
C’est à la sortie de l’hôtel de ville où il venait de s’entretenir avec des élus locaux, que l’incident a eu lieu. Alors qu’il serrait les mains de sympathisants venus le saluer, l’ancien Premier ministre a vu un homme s’approcher de lui et tenter de le gifler.
Il a été rapidement appréhendé par le service d’ordre entourant Manuel Valls puis mis au sol. L’homme a dans la foulée été interpellé par la gendarmerie.
Manuel Valls, en campagne à Strasbourg, avait été enfariné fin décembre par un opposant qui a voulu interpeller l’ancien Premier ministre sur le 49.3 alors que ce dernier s’apprêtait à entrer dans un café.
La visite se poursuit
La visite de Manuel Valls s’est ensuite poursuivie comme si de rien n’était. Direction ensuite la ressourcerie, flambant neuve, où des travailleurs en insertion donnent une seconde vie aux vieux objets depuis septembre. Des élus du secteur sont invités.
Vers 17 h 30, Manuel Valls et son entourage s’est mis en route vers l’entreprise Centigon, spécialisée dans le blindage (véhicules de transport de fonds et militaires, voitures etc.). Dans cette société qui emploie 160 salariés, les portes s’ouvrent rarement, secret défense oblige.
Chez l’expert du blindage, racheté par le groupe chinois Dongfeng il y a deux ans, 90 % des clients sont européens et 10 % africains (des diplomates, des personnels d’administrations gouvernementales et intergouvernementales, des hauts fonctionnaires évoluant sur des zones en crise…).
C’est à la sortie de l’hôtel de ville où il venait de s’entretenir avec des élus locaux, que l’incident a eu lieu. Alors qu’il serrait les mains de sympathisants venus le saluer, l’ancien Premier ministre a vu un homme s’approcher de lui et tenter de le gifler.
Il a été rapidement appréhendé par le service d’ordre entourant Manuel Valls puis mis au sol. L’homme a dans la foulée été interpellé par la gendarmerie.
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Chez l’expert du blindage, racheté par le groupe chinois Dongfeng il y a deux ans, 90 % des clients sont européens et 10 % africains (des diplomates, des personnels d’administrations gouvernementales et intergouvernementales, des hauts fonctionnaires évoluant sur des zones en crise…).