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Vous les avez vus parcourir les médias ou badigeonner la presse écrite de leurs insipides et nauséabondes plumes ? Errant comme des âmes en peine. Ils bandent les muscles, menacent, contestent des chiffres, insinuent des indélicatesses, narguant le nouveau régime. Juste 30 jours et les voilà à s’agiter comme des possédés. Ils ne comprennent toujours pas qu’ils sont vomis et que leurs funestes tentatives de se défendre de crimes économiques ou leur manque d’élégance qui leur font émettre à tout va des critiques improductives et puériles font rire jaune dans les chaumières. Après leur carnage financier et foncier, plutôt que de la fermer, ils sont là à l’ouvrir pour nous provoquer. Voilà un petit pays qui se nomme Sénégal. Si endetté que celui qui a quitté à peine un mois le pouvoir portait sur ses larges épaules le combat pour l’annulation de la dette de l’Afrique. Un pays donc endetté, avec un plateau médical des plus obsolètes. Des femmes qui meurent faute de soins ou d’ambulance pour les évacuer. Dans certains coins du pays, des enfants étudient dans des abris provisoires. Des routes mal faites. Des jeunes au chômage. Des populations qui manifestent pour avoir de l’eau ou de l’électricité. Des paysans spoliés de leurs terres. Bref un pays où tout est urgence et à refaire. Et c’est dans ce pays que des messieurs et dames faisaient des carnages sur les caisses de l’Etat. Et plutôt que d’y mettre fin, celui à qui on avait confié le pays fermait les yeux ou mettait son coude sur des dossiers compromettants. Des hommes que l’on devrait éloigner des régies financières sont promus. Des deals se faisaient avec des individus jamais repus qui se partageaient nos terres. Pendant qu’ils déroulaient leurs politiques dites sociales, faisant voter des lois auxquelles ils ne croyaient pas avec leurs logements dits sociaux, des crapules dépouillaient le pays avec des hectares de terres mis au profit de gens qui se sont enrichis de façon indue et malhonnête alors que de pauvres gens cherchent quelques mètres carrés d’une portion de terre. On n’a pas fini de s’offusquer de ce carnage sur les caisses de l’Etat et le foncier, qu’un autre scandale est annoncé avec la mafia de la pêche. Ils ont ainsi vidé les caisses de l’Etat, nos terres et nos ressources halieutiques. Après tout cela, y en a parmi eux qui osent nous regarder dans le blanc des yeux. C’est maintenant qu’il faut les fusiller. Et sans sommation !
KACCOOR BI – LE TEMOIN
KACCOOR BI – LE TEMOIN