Autres articles
-
Tahirou Sarr envoyé en prison
-
Bénéficiaires effectifs des sociétés extractives au Sénégal : Une rencontre cruciale du CREDILA …
-
Mercato : Liverpool prépare l’après Salah : Assane Diao dans les viseur des reds
-
Attendu aujourd’hui au PJF : Tahirou Sarr a mis sur la table un titre foncier expertisé à plus de 390 millIards F CFA…
-
Pour éviter la prison : Farba Ngom avait mis sur la table plus de 440 millIards de caution
Des dizaines de tombes de tirailleurs sénégalais victimes de la Seconde guerre mondiale ont été profanées, ce jeudi 30 janvier à Lyon, en France. Elles sont situées au niveau du Tata de Chasselay à Lyon, en France, un cimetière militaire où 196 sépultures rendent hommage à ces soldats morts pour la France. Les murs de l’enceinte sont recouverts à certains endroits de tags renvoyant au «vaudou», rapporte Les Échos, qui donne l’information dans son édition de ce vendredi 31 janvier.
Le journal informe que cette profanation a soulevé une vague d’indignations. «Honte et indignité», s’est exclamé sur X le Président français, Emmanuel Macron, selon le journal. La ministre déléguée française chargée de la Mémoire et des anciens combattants, Patricia Miralles, a exprimé sa «stupeur» et son «effroi», d’après la même source, considérant que «profaner un tel site, c’est outrager leur sacrifice et bafouer notre histoire commune».
La Fédération africaine des tirailleurs sénégalais n’est pas en reste. Elle a condamné «fermement la profanation des tombes des tirailleurs», invitant «le gouvernement français à agir pour protéger leur mémoire», rapporte Les Échos. Qui complète que l’Office national des combattants et victimes de guerre a porté plainte.
Le journal informe que cette profanation a soulevé une vague d’indignations. «Honte et indignité», s’est exclamé sur X le Président français, Emmanuel Macron, selon le journal. La ministre déléguée française chargée de la Mémoire et des anciens combattants, Patricia Miralles, a exprimé sa «stupeur» et son «effroi», d’après la même source, considérant que «profaner un tel site, c’est outrager leur sacrifice et bafouer notre histoire commune».
La Fédération africaine des tirailleurs sénégalais n’est pas en reste. Elle a condamné «fermement la profanation des tombes des tirailleurs», invitant «le gouvernement français à agir pour protéger leur mémoire», rapporte Les Échos. Qui complète que l’Office national des combattants et victimes de guerre a porté plainte.