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Après la pluie c’est le beau temps, a-t-on l’habitude de dire. Cet adage ne s’applique pas pour la capitale sénégalaise. Après la pluie, petite soit-elle, Dakar est sale. Les grandes artères sont submergées d’eau et certaines d’entres elles deviennent impraticables. Ce qui était plus désolant c’est l’état des routes. Elles étaient pleines de boues noirâtres mélangées à l’eau des caniveaux et des fosses septiques vidées dans de pareille occasion.
Les piétons avaient du mal à circuler correctement. Les trottoirs, étant toujours occupés comme d’habitue, les personnes disputaient avec les voitures la chaussée. Les dégâts ne manquent pas. Habits tachetés, les pieds dans la boue, la mauvaise odeur, etc. Ce scénario était visible de Petersen à Sahm, en passant par la Médina, Gare routière Pompiers et l’avenue Malick Sy.
Le comble dans cette journée de pluie, c’est que l’activité économique tourne au ralenti. Beaucoup de commerçants ferment boutique. Les petites échoppes de rue ne vendent plus à cause de la pluie. Même les cars de transport en commun ne roulent plus ! Dakar sous la pluie montre encore une fois que le Sénégal n’avance. Il patauge toujours et stagne encore.
E.A. NDOUR
Les piétons avaient du mal à circuler correctement. Les trottoirs, étant toujours occupés comme d’habitue, les personnes disputaient avec les voitures la chaussée. Les dégâts ne manquent pas. Habits tachetés, les pieds dans la boue, la mauvaise odeur, etc. Ce scénario était visible de Petersen à Sahm, en passant par la Médina, Gare routière Pompiers et l’avenue Malick Sy.
Le comble dans cette journée de pluie, c’est que l’activité économique tourne au ralenti. Beaucoup de commerçants ferment boutique. Les petites échoppes de rue ne vendent plus à cause de la pluie. Même les cars de transport en commun ne roulent plus ! Dakar sous la pluie montre encore une fois que le Sénégal n’avance. Il patauge toujours et stagne encore.
E.A. NDOUR