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Une balle dans la tête, une autre dans la poitrine. Grièvement blessé, l'humoriste est mort un peu plus tard dans la soirée. "Selon nous, il n’avait fait de mal à personne, mais ils l’ont visé à la tête et aux épaules", a déploré Yusuf Keynan, présentateur à la radio Kulmiye où la victime travaillait. "C’est un jour noir pour l’industrie du divertissement tout entière, il était une figure de la comédie somalienne et tout le monde aimait ses prestations."
Les deux tueurs ont pris la fuite après avoir accompli leur sale besogne. Les soupçons pèsent sur les shebabs, ces milices islamistes qui terrorisent le pays. En 2011, ils avaient déjà menacé l’acteur de mort, l'obligeant à se cacher au Somaliland plusieurs jours.
Le meurtre de l’humoriste, qui travaillait aussi pour la télévision somalienne Universal, basée à Londres, s’ajoute à une série d’agressions visant les représentants des médias en Somalie, un pays ravagé par plus de vingt ans de guerre civile. Depuis le début de l’année, chaque mois, au moins un journaliste somalien a été tué en Somalie. Dans les colonnes du Guardian, le propriétaire de la radio où travaillait Abdi Jeylani Malaq Marshale conseille même "fortement aux journalistes de porter leurs armes sur eux. Il est temps de se défendre".
lemonde
Les deux tueurs ont pris la fuite après avoir accompli leur sale besogne. Les soupçons pèsent sur les shebabs, ces milices islamistes qui terrorisent le pays. En 2011, ils avaient déjà menacé l’acteur de mort, l'obligeant à se cacher au Somaliland plusieurs jours.
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