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Il se trouve des militants de Rewmi, dont des cadres, qui se disent surpris par cette nomination et qui se désolent de ce qu’Idy ait cru bon de snober l’expertise locale pour aller flirter avec des universitaires qui n’ont qu’une approche superficielle de nos réalités politiques.
Ce sont les mêmes râleurs qui se demandent pourquoi le choix de Léna Sène, à la place de gabarits comme Pape Diouf ou Oumar Sarr, qui ont cheminé avec le patron de Rewmi depuis le début de ses démêlés avec Wade, et qu’on peut compter parmi les plus fidèles compagnons de Idrissa Seck, quand d’autres comme Awa Guèye Kébé se sont lassés du yoyo incessant de leur patron et ont repris la case départ du Pds.
Parmi ces contempteurs de première classe, Aida Mboup, responsable du parti Rewmi à Grand Yoff.
Pour cette militante de la première heure, d’abord, l’ancrage de Léna Sène dans la tradition politique sénégalaise n’est plus établi, après une absence de plus de 15 ans. Qui plus est, son cursus ne laisse rien apparaître du génie politique ou son génie tout court, reste à démontrer, dans la mesure où rien, dans son cursus, ne flirte avec l’extraordinaire.
Nullement impressionnée par de longues études ou un passage à la Maison Blanche, comme il figure dans le cursus de la directrice de campagne, Aida s’insurge contre ce qu’elle appelle des non événements, dans la mesure où il est assez aisé de trouver des sénégalais plus diplômés et, chaque année, des centaines d’africains qui ont fait un stage à la Maison Blanche.
Pour toutes ces raisons, elle considère que Léna ne possède pas la cartographie politique de notre pays et qu’Idrissa Seck n’aurait agi que par complexe, en la recrutant. Un grand bluff à l’américaine, en somme.
REWMI
Ce sont les mêmes râleurs qui se demandent pourquoi le choix de Léna Sène, à la place de gabarits comme Pape Diouf ou Oumar Sarr, qui ont cheminé avec le patron de Rewmi depuis le début de ses démêlés avec Wade, et qu’on peut compter parmi les plus fidèles compagnons de Idrissa Seck, quand d’autres comme Awa Guèye Kébé se sont lassés du yoyo incessant de leur patron et ont repris la case départ du Pds.
Parmi ces contempteurs de première classe, Aida Mboup, responsable du parti Rewmi à Grand Yoff.
Pour cette militante de la première heure, d’abord, l’ancrage de Léna Sène dans la tradition politique sénégalaise n’est plus établi, après une absence de plus de 15 ans. Qui plus est, son cursus ne laisse rien apparaître du génie politique ou son génie tout court, reste à démontrer, dans la mesure où rien, dans son cursus, ne flirte avec l’extraordinaire.
Nullement impressionnée par de longues études ou un passage à la Maison Blanche, comme il figure dans le cursus de la directrice de campagne, Aida s’insurge contre ce qu’elle appelle des non événements, dans la mesure où il est assez aisé de trouver des sénégalais plus diplômés et, chaque année, des centaines d’africains qui ont fait un stage à la Maison Blanche.
Pour toutes ces raisons, elle considère que Léna ne possède pas la cartographie politique de notre pays et qu’Idrissa Seck n’aurait agi que par complexe, en la recrutant. Un grand bluff à l’américaine, en somme.
REWMI