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« Nous nous sommes félicités des déclarations du président Yahya Jammeh, qui rassurent et qui montrent que nous sommes en train de sortir de la crise. Nous allons partir ensemble à Banjul le 19 et cette frayeur sera derrière nous », a déclaré M. Talon, apostrophant son homologue « N’est-ce pas M. le président? »
« Nous sommes en train de trouver les voies de convergence pour que dans cette petite crise qu’il y a en Gambie (…) on trouve une solution », avait-il estimé quelques instants auparavant.
Lors d’une déclaration télévisée dans la nuit de mardi à mercredi, M. Jammeh a annoncé la nomination d’un médiateur général et le vote d’une loi d’amnistie pour décrisper la situation et trouver une issue pacifique à la crise qui secoue la Gambie depuis le 8 décembre, date à laquelle il a remis en cause sa défaite du 1er décembre invoquant des fraudes.
Depuis ce revirement, le président sortant subit de nombreuses pressions extérieures, notamment de la Cédéao, de l’Union africaine (UA) et de l’ONU, pour quitter le pouvoir à la fin de son mandat, qui se termine le 19 janvier.
M. Jammeh a également dénoncé « des ingérences étrangères sans précédent » dans son pays.
Mardi, la Cour suprême a jugé impossible de statuer avant mai sur ses recours contre sa défaite électorale, le temps de recruter les magistrats manquants, et prôné par conséquent une solution négociée avec le président élu Adama Barrow.
« Nous sommes en train de trouver les voies de convergence pour que dans cette petite crise qu’il y a en Gambie (…) on trouve une solution », avait-il estimé quelques instants auparavant.
Lors d’une déclaration télévisée dans la nuit de mardi à mercredi, M. Jammeh a annoncé la nomination d’un médiateur général et le vote d’une loi d’amnistie pour décrisper la situation et trouver une issue pacifique à la crise qui secoue la Gambie depuis le 8 décembre, date à laquelle il a remis en cause sa défaite du 1er décembre invoquant des fraudes.
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