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F. M. S. D. a saisi le poste de police de Grand Yoff pour une affaire de moeurs l'opposant a P.M.K. son ex petit ami . Selon la requérante, Leur idylle a enregistré quelques soubresauts, avec le temps. Et en février 2012, est intervenue leur première rupture à l’initiative de F.M. S .D. Frustré et furieux, son petit ami a posté à deux de leurs amis communs sur facebook une photo montrant cette dernière couchée sur le flanc et toute nue. Pire, après leur 3è rupture survenue en début novembre 2012, P. M. K a menacé la plaignante d’un second déballage beaucoup plus néfaste que le précédant par internet. Le remboursement du prêt d’un montant reliquataire 615.000F CFA était l’unique condition à satisfaire par la plaignante. Subséquemment, le chantage a été tel que ses parents informés par le mis en cause ont fini par la mettre à la porte.
Interrogé P. M.K. a reconnu en partie les faits à lui reprochés. Il a avoué avoir proféré de menaces d’un second déballage (via les réseaux sociaux) à l’encontre de F. M.S.D, si le prêt précité n’était pas remboursé sans délai. Il a soutenu qu’à l’exception de la photo postée sur facebook, toutes les autres photos découvertes sur son téléphone portable ont été prises par la victime elle-même. Mieux, elle les lui a envoyées par internet.
Fouillé à corps, il a été trouvé porteur (dans la poche arrière de son pantalon) de quatre photos obscènes de F. M. S. D, en couleur et en format papier de 30x21Cm. A l’en croire, lesdites photos fournies par la plaignante lui ont servi de moyen immédiat de pressions, aux fins de recouvrement.
A noter que le mis en cause manifestement agité a profité de l’éloignement (3m) momentané de l’enquêteur en communication téléphonique pour violenter la victime et lui tirer les cheveux. A l’issue, le service a déploré le bri de la chaise occupée par la victime. Le téléphone portable Samsung Galaxys de cette dernière a été fortement endommagé.
Leurs téléphones portables respectifs ainsi que les photos sur support papier ont été saisis à titre de pièces à conviction. De même suite, le mis en cause a été écroué .Une enquête est ouverte.
Interrogé P. M.K. a reconnu en partie les faits à lui reprochés. Il a avoué avoir proféré de menaces d’un second déballage (via les réseaux sociaux) à l’encontre de F. M.S.D, si le prêt précité n’était pas remboursé sans délai. Il a soutenu qu’à l’exception de la photo postée sur facebook, toutes les autres photos découvertes sur son téléphone portable ont été prises par la victime elle-même. Mieux, elle les lui a envoyées par internet.
Fouillé à corps, il a été trouvé porteur (dans la poche arrière de son pantalon) de quatre photos obscènes de F. M. S. D, en couleur et en format papier de 30x21Cm. A l’en croire, lesdites photos fournies par la plaignante lui ont servi de moyen immédiat de pressions, aux fins de recouvrement.
A noter que le mis en cause manifestement agité a profité de l’éloignement (3m) momentané de l’enquêteur en communication téléphonique pour violenter la victime et lui tirer les cheveux. A l’issue, le service a déploré le bri de la chaise occupée par la victime. Le téléphone portable Samsung Galaxys de cette dernière a été fortement endommagé.
Leurs téléphones portables respectifs ainsi que les photos sur support papier ont été saisis à titre de pièces à conviction. De même suite, le mis en cause a été écroué .Une enquête est ouverte.