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International

GAMBIE - La vice-présidente ordonne la libération des détenus politiques


Mardi 24 Janvier 2017

Les choses commencent à bouger en Gambie. Sitôt nommée par Adama Barrow, la vice-présidente Fatumata Jallow Tambajang a demandé la libération de tous les détenus politiques du régime de Jammeh. «Il faut libérer tous ceux qui ont été détenus politiquement par Jammeh. Nous nous sommes battus contre l’impunité, il faut libérer tous ceux qui ont combattu pour cela», a ordonné la nouvelle vice-présidente de Gambie.


GAMBIE - La vice-présidente ordonne la libération des détenus politiques

De manière plus prosaïque, Cissé souligne que «jouer le Cameroun est une fierté pour un jeune entraîneur comme moi. Je savais que cette affiche allait charrier beaucoup de commentaires, surtout au tour de moi qui avait joué et perdu une finale devant cette même formation».

A l’en croire, il ne faut pas réveiller les morts. Il faut laisser le passé là où il est. Et d’ajouter : «Les joueurs sénégalais devront se mettre au niveau des camerounais qui partent largement favoris au vu de leur palmarès».

Revenant sur le match face à l’Algérie, il s’explique avec une certaine satisfaction en voyant ses seconds couteaux tenir tête aux Fennecs. «Des changements étaient attendus, on était qualifié et il fallait donner du temps de jeu aux joueurs qui n’avaient évolué jusqu’ici», reconnaît-t-il.

Affirmant qu’il pouvait compter sur ses joueurs, il dit sa satisfaction, surtout en voyant «des jeunes joueurs bien se comporter, malgré leur première CAN». Cette revue d’effectif n’a pas ébranlé les certitudes de coach Cissé, malgré la prestation appréciable de certains.

«C’est clair que je ne suis pas resté insensible à la prestation de certains. Ce n’est pas pour autant que je pense modifier ce que j’ai en tête. Je constituerais le meilleur onze possible face au Cameroun, cela ne voudra pas dire pour autant que ceux qui n’y seront pas auront démérité», dit-il.

Parlant de ceux qui n’ont pas joué une minute face à l’Algérie, il souligne qu’«un travail a été prévu pour eux. C’était normal de les reposer, car les matches sont très durs. Et je ne pas déçu d’avoir fait tourner l’effectif».

Les joueurs qui vivent loin du tumulte de Franceville, repliés dans leur bunker à Bongoville ne s’en portent que mieux, d’après le sélectionneur. «Ils ont besoin d’une grande concentration qui fait partie intégrante du haut niveau. Ils vivent bien, ils ont un bon état d’esprit», se justifie-t-il.




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