Autres articles
-
TVA : Le gouvernement sénégalais va rendre obligatoire la facturation électronique, voici comment
-
Révélations: Ilan Peretz et des anciens de l’APR se sont partagés les parcelles de la BOA Almadies (média)
-
Nécessité de changement de Cap au Sénégal : Un endettement record et ses enjeux économiques (Par Dr. Seydina Oumar Seye)
-
Urgent : Urgent : Samuel Sarr envoyé en prison pour abus de biens…Samuel Sarr envoyé en prison pour abus de biens…
-
Le prix plancher du Kg d’arachide fixé à 305 FCFA : Sonko dévalue le monde paysan
Ces facilitateurs expérimentés ont été formés lors d’un atelier sur le partage des connaissances que la Banque mondiale a organisé à Dakar, du 22 au 26 mai 2017, précise un communiqué parvenu à l’APS.
Le but consiste à "améliorer l’efficacité des institutions du service public afin qu’elles deviennent plus résilientes aux rotations du personnel et que les succès et bonnes pratiques soient répliqués à plus grande échelle".
Au contraire de nombreuses approches classiques de gestion des connaissances, "la méthodologie du groupe de la Banque mondiale met l’accent sur la capture des savoirs empiriques au sein d’une organisation pour ensuite convertir les enseignements dans des formats accessibles qui peuvent être partagés, enseignés, adaptés et reproduits".
"La méthodologie est novatrice dans le sens où les institutions partenaires conçoivent et mettent en œuvre leur propre programme d’action", explique le communiqué.
"Les institutions nationales recherchent souvent les bonnes pratiques à l’extérieur de leur organisation et ignorent généralement les solutions découlant de leurs propres expériences opérationnelles", a déclaré Laurent Porte, spécialiste en partage des connaissances à la Banque mondiale, co-animateur de l’atelier de formation des formateurs.
Le programme de la Banque mondiale développe les capacités de partage de connaissances au sein des organisations de manière progressive. L’approche repose sur une série d’interventions qui s’étalent généralement sur une période de 18 à 24 mois, et dont bénéficient des organisations du secteur public à travers le monde, toutes régions et secteurs confondus.
Elle consiste en une série d’ateliers participatifs, de guides, et de conseils pratiques au niveau local et elle est conduite par la Banque mondiale qui s’appuie sur réseau mondial de facilitateurs expérimentés.
APS
Le but consiste à "améliorer l’efficacité des institutions du service public afin qu’elles deviennent plus résilientes aux rotations du personnel et que les succès et bonnes pratiques soient répliqués à plus grande échelle".
Au contraire de nombreuses approches classiques de gestion des connaissances, "la méthodologie du groupe de la Banque mondiale met l’accent sur la capture des savoirs empiriques au sein d’une organisation pour ensuite convertir les enseignements dans des formats accessibles qui peuvent être partagés, enseignés, adaptés et reproduits".
"La méthodologie est novatrice dans le sens où les institutions partenaires conçoivent et mettent en œuvre leur propre programme d’action", explique le communiqué.
"Les institutions nationales recherchent souvent les bonnes pratiques à l’extérieur de leur organisation et ignorent généralement les solutions découlant de leurs propres expériences opérationnelles", a déclaré Laurent Porte, spécialiste en partage des connaissances à la Banque mondiale, co-animateur de l’atelier de formation des formateurs.
Le programme de la Banque mondiale développe les capacités de partage de connaissances au sein des organisations de manière progressive. L’approche repose sur une série d’interventions qui s’étalent généralement sur une période de 18 à 24 mois, et dont bénéficient des organisations du secteur public à travers le monde, toutes régions et secteurs confondus.
Elle consiste en une série d’ateliers participatifs, de guides, et de conseils pratiques au niveau local et elle est conduite par la Banque mondiale qui s’appuie sur réseau mondial de facilitateurs expérimentés.
APS