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« En y repensant, j’ai décidé d’arrêter beaucoup de choses. Je suis incontournable dans la musique mbalax. Je n’ai plus rien à prouver et j’ai eu beaucoup de succès au Sénégal. Je veux désormais pénétrer le marché international en faisant de l’acoustique et de la musique traditionnelle. J’arrête aussi définitivement le leumbeul (…) Je n’ai peur de personne, j’ai la danse dans le sang. Et je peux le faire jusqu’à mes cent ans. Je ne suis pas partie à l’orchestre national pour apprendre à danser. C’est un don en moi. Je trouve qu’il y a des choses à dépasser, surtout pour celles qui essayent à rivaliser avec moi et qui n’y arrivent pas. J’ai pris l’âge et j’ai de grands enfants. Je dois savoir tourner définitivement la page et passer à autre chose. Mon leumbeul a fait le tour du monde: du Canada à l’Europe en passant par les Etats-Unis. Je n’ai donc plus rien à prouver. Damay leumbeul di takhaw, di djonkane bay teude », a-t-elle fait savoir lors d’un entretien accordé à Dakar Life.
seneweb
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