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Stade Vélodrome – jeudi 7 juillet (21 heures)
France, le maître de cérémonie
Pour les Bleus et la FFF, c’était un minimum. Pour que l’Euro 2016 soit réussi, il fallait atteindre le dernier carré de la compétition. Afin de marquer une progression par rapport à la Coupe du monde. Mais aussi parce que, comme on le subodorait au moment du tirage au sort, la route des Tricolores n’a pas été semée de beaucoup d’embûches, même si, il est vrai, les Bleus se sont mis quelques bâtons dans les roues. Après la Roumanie, l’Albanie, la Suisse, l’Irlande et l’Islande, place au plus gros morceau possible : l’Allemagne.
L’Allemagne, c’est évidemment une revanche du quart de finale de 2014 (1-0). Mais c’est aussi et surtout le troisième acte des aventures des Bleus et de la Nationalmannschaft en demi-finale d’une grande compétition. Il y a eu les demies de Séville 1982 et de Guadalajara 1986. Il y aura Marseille 2016.
Allemagne, le patron
Champions du monde il y a deux ans, qualifiés pour une sixième demi-finale internationale de suite, les Allemands vivent une décennie dorée. Si l’équipe de Joachim Löw n’est sans doute pas la plus forte de l’histoire du pays, elle est la plus régulière. Et cette génération Schweinsteiger rêve de compléter son palmarès par un sacre européen, qui serait le quatrième de l’Allemagne. Après un départ cahin-caha, les coéquipiers de Jerome Boateng sont montés en puissance depuis le début de la phase à élimination directe.
Face à la Slovaquie (3-0), l’Allemagne a maitrisé sans trembler. Contre l’Italie (1-1, 6 tab à 5), l’Allemagne s’est adaptée, a (un peu) tremblé, mais a fini par triompher. Contre les Bleus, Löw devra composer sans Mats Hummels (suspendu), Mario Gomez (blessé) mais aussi sûrement sans Sami Khedira etBastian Schweinsteiger, très incertains en raison de soucis phyisques. Le Bundestrainer n’est cependant pas à court de munitions.
Parc OL – mercredi 6 juillet (21h)
Pays de Galles, l’invité surprise
Qui aurait parié sur ça ? Qui aurait imaginé que les Gallois, absents des grandes compétitions internationales depuis 1958 seraient encore là à quatre jours de la finale de l’Euro 2016 ? Pas grand monde. Les seuls à y croire portaient un maillot rouge et c’est bien l’essentiel. Depuis le début de la compétition, hormis une défaite face à l’Angleterre lors du deuxième match (2-1), le Pays de Galles étonne et détonne.
Avec Gareth Bale en fer de lance et en équipier modèle, capable de mettre le bleu de chauffe quand il le faut, la sélection dirigée par Chris Coleman réussit un énorme tournoi et, après avoir battu la Belgique au tour précédent n’a pas envie de s’arrêter là. Elle n’a d’ailleurs aucune raison d’imaginer le contraire.
Portugal, l’habitué jamais titré
Le Portugal n’avait jamais disputé l’Euro avant 1984. Depuis cette date, il n’en a raté que deux (1988, 1992) et, surtout, s’est invité dans le dernier carré à cinq reprises. C’est tout bonnement exceptionnel. Ce qui l’est tout autant, c’est que les Portugais n’ont toujours pas remporté le Championnat d’Europe. Un cas unique. La cicatrice de la finale 2004, perdue face à la Grèce reste visible, notamment pour Ronaldo, 19 ans à l’époque.
Douze ans plus tard, le triple Ballon d’Or n’a qu’une envie : vaincre la malédiction. Loin d’être impérial depuis le début de la compétition, à l’image de son équipe, CR7 a encore cette possibilité. Elle passe par le Pays de Galles et un affrontement face à Gareth Bale, coéquipier au Real Madrid et ennemi d’un soir. Mercredi, il n’en restera qu’un.
EUROSPORT