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Du nombre des pays attendus à cette rencontre, le Sénégal a effectué les derniers réglages. Un atelier de partage et de préparation de la participation du Sénégal à la Cop 22 sur les changements climatiques, a réuni hier des experts et les autorités en charge de la question.
Venu présider l'atelier, la secrétaire générale du ministère en charge de l'Environnement et du Développement durable (Medd) a qualifié de "décisive" cette prochaine Cop. "Nous serons à Marrakech pour mettre nos engagements sur la table". Des engagements allant dans le sens de réduire les émissions de gaz à effet de serre au Sénégal, a indiqué Mme Ramatoulaye Dieng Ndiaye.
"C'est une Cop qui se tient en terre africaine. La nouveauté de cette année est que le Sénégal va avoir une stand de 100 m2", dira-t-elle.
Président du Comité national des changements climatiques, Ousmane Fall Sarr est revenu sur les enjeux de cette Cop "particulière", à ses yeux. "Chaque pays doit produire un document pour montrer ce qu'il prévoit de faire pour réduire les émissions. Il nous faut des fonds pour prendre en charge les projets. Le gouvernement du Sénégal a des limites concernant la prise en charge de ses projets", d'où l'importance de sa présence à la Cop 22.
"Le changement climatique, les inondations, la baisse de la pluviométrie, l'érosion côtière, entre autres, tout cela demande des moyens. Les pays développés doivent contribuer financièrement à la lutte. Il y a certains ministères et acteurs qui doivent être soutenus à travers les renforcements de capacité et le transfert de technologie. Il nous fait attirer l'attention de la communauté internationale. Le Sénégal fait partie des pays les plus vulnérables aux changements climatiques. Nous sommes en train de mettre à jour pour pouvoir mettre les programmes prioritaires. C'est en plusieurs millions de dollars que se chiffrent les besoins", a-t-elle dit.
Madeleine Diouf Sarr, Chef de la Division changement climatique, au Medd, a souligné que c'est à Marrakech que va se tenir la première réunion des parties à la suite de l'accord de Paris. Pour l'heure 87 pays ont ratifié cet accord qui va entrer en vigueur. Parmi eux 5 pays au niveau de la Cedeao dont le Sénégal.
Venu présider l'atelier, la secrétaire générale du ministère en charge de l'Environnement et du Développement durable (Medd) a qualifié de "décisive" cette prochaine Cop. "Nous serons à Marrakech pour mettre nos engagements sur la table". Des engagements allant dans le sens de réduire les émissions de gaz à effet de serre au Sénégal, a indiqué Mme Ramatoulaye Dieng Ndiaye.
"C'est une Cop qui se tient en terre africaine. La nouveauté de cette année est que le Sénégal va avoir une stand de 100 m2", dira-t-elle.
Président du Comité national des changements climatiques, Ousmane Fall Sarr est revenu sur les enjeux de cette Cop "particulière", à ses yeux. "Chaque pays doit produire un document pour montrer ce qu'il prévoit de faire pour réduire les émissions. Il nous faut des fonds pour prendre en charge les projets. Le gouvernement du Sénégal a des limites concernant la prise en charge de ses projets", d'où l'importance de sa présence à la Cop 22.
"Le changement climatique, les inondations, la baisse de la pluviométrie, l'érosion côtière, entre autres, tout cela demande des moyens. Les pays développés doivent contribuer financièrement à la lutte. Il y a certains ministères et acteurs qui doivent être soutenus à travers les renforcements de capacité et le transfert de technologie. Il nous fait attirer l'attention de la communauté internationale. Le Sénégal fait partie des pays les plus vulnérables aux changements climatiques. Nous sommes en train de mettre à jour pour pouvoir mettre les programmes prioritaires. C'est en plusieurs millions de dollars que se chiffrent les besoins", a-t-elle dit.
Madeleine Diouf Sarr, Chef de la Division changement climatique, au Medd, a souligné que c'est à Marrakech que va se tenir la première réunion des parties à la suite de l'accord de Paris. Pour l'heure 87 pays ont ratifié cet accord qui va entrer en vigueur. Parmi eux 5 pays au niveau de la Cedeao dont le Sénégal.