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En chiffres et en lettres – Aziz Ndiaye, promoteur de lutte : «J’ai acheté une paire de chaussures de marque Louis Vuitton à 1 300 000FCfa»
A 36 ans, Aziz Ndiaye a tout réussi dans la vie. Ou presque. A 18 ans, il gagne son premier million. A 22 ans, il envoie ses parents à la Mecque. La même année, il met sur pied sa première société et à 26 ans, il organise son premier combat de lutte. Que demander de plus à la vie ? L’Obs revient sur la trajectoire de ce promoteur de lutte dont les doigts transforment en or tout ce qu’ils touchent. Success-story d’un businessman. En chiffres et en lettres.
1979 : Sa date de naissance
Première : Son niveau d’études
2005 : Ses débuts dans l’arène
Tapha Guèye 1 contre Lac de Guiers 1 : Le combat qui l’a le plus marqué dans l’arène.
1997 : L’année où il a gagné son premier million.
2001: L’année de mes 22 ans. «Cette année, les affaires ont prospéré et j’ai pu envoyer mes deux parents à La Mecque.»
100 000FCfa : Le plus petit cachet qu’il a eu à payer à un lutteur.
140 000 000FCfa : Le plus gros cachet payé à un lutteur. «C’était pour un combat en 2013. Je préfère taire le nom du lutteur à qui j’ai eu à payer ce cachet.»
+ de 1 milliard FCfa: La plus forte somme qu’il a eu à débourser pour l’organisation d’un combat en 2013 (cachet des lutteurs et marketing compris). «Cette année-là, j’ai eu à organiser des combats pour les grands ténors de la lutte. Il y a eu les combats Eumeu Sène/ Modou Lô, Balla Gaye2/ Tapha Tine, Papa Sow/Baye Mandione, Zoss/Malick Niang, Lac Rose/Modou Anta, Issa Pouye/ Rock Mbalakh etc. C’était une année de feu.»
L : La lutte est sa grande passion.
A : Comme administrateur de sociétés. Il exerce ce métier depuis plus de 15 ans.
20 ans : L’âge où il a émigré pour la première fois aux Etats-Unis. «Je suis parti en 1999 et je suis rentré au pays au lendemain des évènements du 11 septembre 2001 (attentat contre le World Trade center.)
T : Comme «Time is money (Le temps, c’est de l’argent)». Le slogan qui l’a le plus marqué durant son séjour aux Etats-Unis.
C : Comme «Chicken legs (pilon de poulets)». La nourriture dont il raffolait aux Etats-Unis.
C : Comme «Ceebou dieune», son plat préféré.
2001: Il s’installe définitivement au Sénégal et commence à développer son propre business.
Ets AAN : Comme Entreprise Abdou Aziz Ndiaye, le premier établissement commercial qu’il a eu à mettre sur pied.
Abc : Aziz Business Company. C’est ma 2e entreprise. Elle est spécialisée dans le Négoce et le transport international.
R : Comme riz. Le business qu’il a hérité de son père. «C’est un business familial.»
2 : Le nombre des maisons
I : Comme illimité. Il ne connait pas exactement le nombre de ses terrains nus.
N : Il n’a pas en tête le nombre de ses comptes en banque
5 : Le nombre de ses vrais amis.
4 : Le nombre de ses voitures personnelles (Range Rover 2014, Range Rover 2012, Mercedes CLA et Q7)
2 : Le nombre de ses téléphones portables. Un Samsung et Iphone 6Plus.
1, 79cm : Sa taille
100kgs : Son poids
43 : Sa pointure
2 : Le nombre de ses épouses
7 : Le nombre de ses enfants
18 ans : L’âge de son aîné
J : Comme jumeaux. Ses cadets sont des jumeaux
+ de 100 : Le nombre des voyages qu’il a effectués
E : Comme Etats-Unis, le pays qui l’a le plus marqué
C : Comme Chine. Un pays dont il admire la mentalité du peuple
18 ans : Il fête sa 18e année de mariage avec sa 1ère épouse
2007 : L’année de son second mariage
50 : Il a plus d’une cinquantaine de costumes
10 : Le nombre de ses cravates
100 : Il dit avoir une centaine de paires de chaussures (Louis Vuitton, Prada, Gucci, Nike, Adidas)
2000 : Deux mille euros (1 300 000FCfa), le prix de sa plus chère paire de chaussures de marque Louis Vuitton. «Je l’ai achetée en 2014.»
6 : Le nombre de ses montres de marque, Rolex et autres
+ de 100 : Le nombre de ses tenues traditionnelles
2013 : L’année où il a organisé des combats qui l’ont emmené au 7e ciel
9 : Le maillot qu’il portait footballeur
0 : Il n’a jamais marqué de but
A : Comme attaquant. Le poste qu’il occupait sur le terrain
O.M : L’Olympique de Marseille. Son club de cœur
M : Comme «Mbalakh ». «C’est la seule musique que j’écoute.»
B : Comme boîtes de nuit. Il les fréquente toujours
4 : Le nombre d’années durant lesquelles il a fréquenté le «Daara» lors de ses vacances scolaires
M : Comme mystique. «Je dépense des millions pour ma protection personnelle et celle de mes affaires.»
0 : Il dit ne pas porter d’amulettes
2 : Comme alliances. «Je porte deux alliances en or en hommage à mes deux épouses.»
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