Autres articles
-
Coupe du monde 2026 : les chapeaux avant le tirage au sort des éliminatoires
-
En colère contre les autorités : Le sélectionneur des Lions du basket menace de démissionner
-
Sénégal-Burundi : le cadeau de la Fédération aux Lions
-
Tout savoir sur Xbet-apk.sn au Sénégal
-
Les applications de bookmakers principaux au Sénégal avec Bookmakers.wiwsport.com
Pape Diouf, l’ancien président de l’Olympique de Marseille, n’est pas du même avis que ceux qui cherchent la cause de l’élimination des Lions en quarts de finale de la Can-2017 dans les choix et le (prétendu) manque d’expérience du sélectionneur national, Aliou Cissé.
«Certains ont déploré l’absence d’un Sow (Moussa) à la place de Mame Biram Diouf. De ce point de vue là, il faudrait bien faire le distinguo entre ce que je peux appeler une efficacité individuelle ; c’est-à-dire qui concerne personnellement le joueur et ce qui relève du rendement collectif. Je pense, là aussi, que c’est une redite, mais je la commets : Nul n’était plus désireux qu’Aliou Cissé de gagner. S’il a insisté à mettre Diouf plutôt que Sow, c’est qu’il avait ses raisons. Étaient-ce de bonnes raisons ? Je ne sais pas. Je crois qu’il a tenu compte davantage d’un contexte global que d’un contexte particulier.»
À propos du prétendu manque d’expérience de Cissé, qui lui aurait été fatal face à son collègue sur le banc du Cameroun, Hugo Broos, Pape Diouf clame sa circonspection. «Je pense très honnêtement que là aussi ça relève plus de la spéculation que de l’observation fine ou objective. Dans ce match là, c’est le Sénégal qui a pris les initiatives. Avec un peu de réussite, tout le plan bâti par le technicien camerounais, si jamais il y avait un plan, se serait écroulé.»
La page de la Can tournée, l’ancien patron de l’Om recommande aux Lions de fixer l’avenir en commençant par décrocher un ticket pour le prochain Mondial. Il dit : «Essayons d’abord d’assurer une qualification à la prochaine Coupe du monde. Ce qui est tout a fait dans les cordes de l’équipe.»
Le Sénégal (3 pts) est troisième de son groupe derrière le Burkina Faso (1er, 4 pts) et l’Afrique du Sud (2e, 4 pts). Le 28 août prochain, les Lions accueillent les Étalons pour le compte de la troisième journée des qualifications. Un mois plus tard, les deux équipes se retrouveront pour la quatrième journée.
(Source : Stades)
«Certains ont déploré l’absence d’un Sow (Moussa) à la place de Mame Biram Diouf. De ce point de vue là, il faudrait bien faire le distinguo entre ce que je peux appeler une efficacité individuelle ; c’est-à-dire qui concerne personnellement le joueur et ce qui relève du rendement collectif. Je pense, là aussi, que c’est une redite, mais je la commets : Nul n’était plus désireux qu’Aliou Cissé de gagner. S’il a insisté à mettre Diouf plutôt que Sow, c’est qu’il avait ses raisons. Étaient-ce de bonnes raisons ? Je ne sais pas. Je crois qu’il a tenu compte davantage d’un contexte global que d’un contexte particulier.»
À propos du prétendu manque d’expérience de Cissé, qui lui aurait été fatal face à son collègue sur le banc du Cameroun, Hugo Broos, Pape Diouf clame sa circonspection. «Je pense très honnêtement que là aussi ça relève plus de la spéculation que de l’observation fine ou objective. Dans ce match là, c’est le Sénégal qui a pris les initiatives. Avec un peu de réussite, tout le plan bâti par le technicien camerounais, si jamais il y avait un plan, se serait écroulé.»
La page de la Can tournée, l’ancien patron de l’Om recommande aux Lions de fixer l’avenir en commençant par décrocher un ticket pour le prochain Mondial. Il dit : «Essayons d’abord d’assurer une qualification à la prochaine Coupe du monde. Ce qui est tout a fait dans les cordes de l’équipe.»
Le Sénégal (3 pts) est troisième de son groupe derrière le Burkina Faso (1er, 4 pts) et l’Afrique du Sud (2e, 4 pts). Le 28 août prochain, les Lions accueillent les Étalons pour le compte de la troisième journée des qualifications. Un mois plus tard, les deux équipes se retrouveront pour la quatrième journée.
(Source : Stades)