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La victoire de Donald Trump "va prouver une chose, c'est que la diabolisation est une foutaise et que c'est une impasse", a renchéri sur la radio RTL son père, Jean-Marie Le Pen, chef historique de l'extrême droite française, qui a passé les rênes du FN à sa fille en 2011.
Le compagnon de Mme Le Pen, Louis Aliot, vice-président du FN, a salué pour sa part "huit mois de propagande mondiale balayée par les urnes et par le peuple. Le bras d'honneur de l'oncle Sam à une élite arrogante !".
Début septembre sur CNN, Mme Le Pen se trouvait des points communs avec M. Trump: "Nous ne sommes pas du sérail, nous ne participons pas du système, nous ne dépendons de personne, nous n'allons pas prendre d'ordres auprès de telle puissance financière ou de tels intérêts de multinationales".
Quant à la candidate démocrate à la présidentielle, "c'est la guerre", jugeait-elle. "Hillary Clinton, c'est la dévastation, c'est le déséquilibre du monde (...), c'est des choix économiques qui sont ravageurs pour le bonheur de mon peuple (français, ndlr), ce sont des choix géostratégiques qui vont engager à des conflits mondiaux qui risquent d'être très lourds", disait Mme Le Pen.
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