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SENXIBAR-Le tribunal des flagrants délits de Dakar a condamné ce mardi 13 mars, un journaliste à six mois assortis du susrsis. Pape Ibrahima Ndiongue, c’est le nom du prévenu, a été déclaré coupable d’escroquerie au visa.
A la barre, le journaliste a reconnu qu’il n’a pas les qualités pour délivrer un visa. Cela n’empêche, il a promis le fameux sésame à un de ses cousins à qui il a fait croire qu’il pouvait l’emmener en Italie.
Pour réussir son coup, le prévenu qui a reçu 1,250 millions de francs Cfa, a délivré un ordre de mission à son cousin qu’il avait recruté comme reporter-photographe. A ce titre, Pape Ibrahima Ndiongue a emmené le plaignant au Maroc pour couvrir un tournoi de rugby. Hélas, le voyage du candidat à l’émigration se limitera au Maroc.
Selon les explications du prévenu, même s’il avait l’intention de faire voyager le plaignant, il n’a pas pu respecter ses engagements. « Au Maroc nous avions eu des difficultés. C’est pourquoi, je l’ai laissé chez un ami avant de continuer sur la France », a soutenu le journaliste.
Tout en précisant qu’il voulait tout simplement aider le plaignant, il a ajouté que c’est la mère du plaignant qui s’est opposé au retour de son fils. « Lorsque je l’ai informée de la situation, elle m’a dit que ce serait une honte si son fils rentrait », a expliqué le prévenu qui a été condamné à six mois assortis du sursis.
Si Pape Ibrahima Ndiongue a échappé à une sanction pécuniaire du fait de la non mère de dommages et intérêts par la partie civile, ce n’est pas le cas pour les sermons.
« C’est une peine d’avertissement. Limitez-vous à votre qualité de journaliste », lui a lancé le juge après le prononcé du délibéré qui permet au journaliste de recouvrer la liberté après des jours passés à la prison de Reubeuss.
A la barre, le journaliste a reconnu qu’il n’a pas les qualités pour délivrer un visa. Cela n’empêche, il a promis le fameux sésame à un de ses cousins à qui il a fait croire qu’il pouvait l’emmener en Italie.
Pour réussir son coup, le prévenu qui a reçu 1,250 millions de francs Cfa, a délivré un ordre de mission à son cousin qu’il avait recruté comme reporter-photographe. A ce titre, Pape Ibrahima Ndiongue a emmené le plaignant au Maroc pour couvrir un tournoi de rugby. Hélas, le voyage du candidat à l’émigration se limitera au Maroc.
Selon les explications du prévenu, même s’il avait l’intention de faire voyager le plaignant, il n’a pas pu respecter ses engagements. « Au Maroc nous avions eu des difficultés. C’est pourquoi, je l’ai laissé chez un ami avant de continuer sur la France », a soutenu le journaliste.
Tout en précisant qu’il voulait tout simplement aider le plaignant, il a ajouté que c’est la mère du plaignant qui s’est opposé au retour de son fils. « Lorsque je l’ai informée de la situation, elle m’a dit que ce serait une honte si son fils rentrait », a expliqué le prévenu qui a été condamné à six mois assortis du sursis.
Si Pape Ibrahima Ndiongue a échappé à une sanction pécuniaire du fait de la non mère de dommages et intérêts par la partie civile, ce n’est pas le cas pour les sermons.
« C’est une peine d’avertissement. Limitez-vous à votre qualité de journaliste », lui a lancé le juge après le prononcé du délibéré qui permet au journaliste de recouvrer la liberté après des jours passés à la prison de Reubeuss.