Double défaite des lionnes aux J.O : Moustapha Gaye pointe le manque de préparation
L’écart entre le basket sénégalais et ce qui se fait de mieux au monde est abyssal, Selon, La Tribune, l’analyse a été faite par l’entraîneur les Lionnes, Moustapha Gaye, après deux défaites consécutives à plus de cent points face aux Etats-Unis et à la Chine.
« Haut niveau ne ment pas. Ce n’est pas en restant à Marius Ndiaye et en jouant contre des équipes cadettes garçons qu’on arrivera à battre des équipes à ce niveau », a analysé l’entraîneur des Lionnes pour qui « battre la Chine aurait été une agréable surprise mais pas une logique ». « Nous ne pouvons rien faire face à des équipes comme celles-là sinon jouer par séquences comme ce fut le cas », poursuit Gaye dans son analyse pour assurer que les deux types de préparations font la différence.
Le Sénégal a préparé les JO en basket avec trois matchs amicaux, là où la Chine, selon son entraîneur, a enchaîné au moins "une vingtaine de matchs". Même par rapport à son objectif d’utiliser les JO pour préparer l’Afrobasket de 2017, Gaye pense que ce sera difficilement atteignable si on continue à avoir le même type de préparation. « On peut toujours capitaliser après des matchs aux JO. Mais si c’est pour avoir le même type de préparation même à l’Afrobasket, on ne gagnera rien », avertit Gaye, ajoutant que si quelqu’un peut faire mieux avec ce type de préparation, il peut venir prendre sa place.
Le Sénégal a raté deux invitations à prendre part à des tournois en Italie et en Serbie faute de visas décrochés à temps et d’argent. Pour le coach, le basket ne ment pas puisque ces matchs amicaux « permettent d’avoir ce qu’on appelle le rythme de jeu, de se solidifier avec de la densité », toute chose qui ont manqué à ses joueuses.
« Haut niveau ne ment pas. Ce n’est pas en restant à Marius Ndiaye et en jouant contre des équipes cadettes garçons qu’on arrivera à battre des équipes à ce niveau », a analysé l’entraîneur des Lionnes pour qui « battre la Chine aurait été une agréable surprise mais pas une logique ». « Nous ne pouvons rien faire face à des équipes comme celles-là sinon jouer par séquences comme ce fut le cas », poursuit Gaye dans son analyse pour assurer que les deux types de préparations font la différence.
Le Sénégal a préparé les JO en basket avec trois matchs amicaux, là où la Chine, selon son entraîneur, a enchaîné au moins "une vingtaine de matchs". Même par rapport à son objectif d’utiliser les JO pour préparer l’Afrobasket de 2017, Gaye pense que ce sera difficilement atteignable si on continue à avoir le même type de préparation. « On peut toujours capitaliser après des matchs aux JO. Mais si c’est pour avoir le même type de préparation même à l’Afrobasket, on ne gagnera rien », avertit Gaye, ajoutant que si quelqu’un peut faire mieux avec ce type de préparation, il peut venir prendre sa place.
Le Sénégal a raté deux invitations à prendre part à des tournois en Italie et en Serbie faute de visas décrochés à temps et d’argent. Pour le coach, le basket ne ment pas puisque ces matchs amicaux « permettent d’avoir ce qu’on appelle le rythme de jeu, de se solidifier avec de la densité », toute chose qui ont manqué à ses joueuses.
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