-
Technologie : WhatsApp cessera de fonctionner sur des millions de téléphones à partir du 1er février.
-
Le Sénégal occupe la 7ème place de la liberté de la presse en Afrique
-
Résultats de la presidentielle: les journalistes avaient raison
-
Journalistes-politiciens passés à la loupe par des spécialistes : Réquisitoire !
-
Musique-Télévisions: La télévision du Groupe de presse de Coumba Gawlo très bientôt opérationnelle, annonce l'artiste
Je m’appelle Maguette Mbengue, étudiante en master II en Communication et Journalisme à l’Institut Supérieur des Sciences de l’Information et de la Communication (Issic). Il est vrai que la question du niveau des journalistes est très importante et très complexe. La nouvelle génération de journalistes présente un niveau de langue très bas, surtout si on la compare à la génération de Sokhna Dieng Mbacké qui était excellente dans le domaine».
Pour mieux expliquer sa position, la jeune étudiante part d’une analyse en deux temps. Selon elle, il y a «d’un côté, beaucoup d’écoles de journalisme dans ce pays. On en rencontre à chaque coin de rue. Et l’on se pose la question de savoir si elles sont toutes aptes à fournir une formation digne de ce nom. Parce qu’il faut une bonne expertise dans le domaine».
Maguette Mbengue : «la nouvelle génération de journalistes présente un niveau de langue très bas, surtout si on la compare à la génération de Sokhna Dieng Mbacké qui était excellente dans le domaine».
D’un autre côté, toujours Maguette Mbengue pense que «le faible niveau, qui est à déplorer, réside dans le fait que les étudiants trainent ces lacunes depuis l’école élémentaire. Ils ne lisent plus et ils n’essaient pas de s’exprimer pour pouvoir être corrigés. Les étudiants n’accordent pas de temps à la documentation ; et pourtant, ça aide beaucoup surtout pour acquérir une bonne culture générale ».