La prorogation se justifie par la note en cours de délibéré produite par les avocats de Diakité, partie civile dans cette affaire. L’homme d’affaires a traîné en justice l’ex-PM pour faux, usage de faux et escroquerie et abus de confiance. Tout est parti d’un prêt de 500 millions de F CFA que M. Diakité avait contracté en 2001, auprès de la BST (Banque sénégalo-tunisienne devenue CBAO Attijari Bank dirigée à l’époque par l’ancien PM.
Selon les avocats de la banque, M. Diakité avait proposé en garantie son immeuble vendu finalement car le contractant n’a pas remboursé le prêt. Et la banque avait vendu deux immeubles de l’homme d’affaires à 150 millions et 100 millions de F CFA et lui réclame le reliquat de 396 millions. Seulement l’homme d’affaires conteste avoir contracté le second prêt et hypothéqué ses immeubles. C’est pourquoi il a porté plainte contre Abdoul Mbaye ainsi que la conseillère juridique de la banque, Charlotte Mbaye et le notaire Tanor Dieng qui avait par ailleurs ordonné la saisie de l’immeuble hypothéqué. Mais le trio a été blanchi par le juge d’instruction. Non satisfait de la relaxe de l’ex-PM, Diakité a attaqué l’ordonnance du juge devant la Chambre d’accusation.
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Selon les avocats de la banque, M. Diakité avait proposé en garantie son immeuble vendu finalement car le contractant n’a pas remboursé le prêt. Et la banque avait vendu deux immeubles de l’homme d’affaires à 150 millions et 100 millions de F CFA et lui réclame le reliquat de 396 millions. Seulement l’homme d’affaires conteste avoir contracté le second prêt et hypothéqué ses immeubles. C’est pourquoi il a porté plainte contre Abdoul Mbaye ainsi que la conseillère juridique de la banque, Charlotte Mbaye et le notaire Tanor Dieng qui avait par ailleurs ordonné la saisie de l’immeuble hypothéqué. Mais le trio a été blanchi par le juge d’instruction. Non satisfait de la relaxe de l’ex-PM, Diakité a attaqué l’ordonnance du juge devant la Chambre d’accusation.
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