Autres articles
-
Émeutes au Royaume-Uni: la communauté musulmane sous tension, les mosquées protégées
-
Israël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et NetanyahuIsraël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et NetanyahuIsraël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et Netanyahu
-
Les figures démocrates saluent la décision de Joe Biden, les républicains appellent à sa démission
-
Affaire 1xbet : Le verdict est tombé pour Samuel Eto’o
-
Manifestations au Kenya: le président Ruto annonce le retrait du projet de budget
Plusieurs haut-responsables de la Maison Blanche ont défendu dimanche sur les télévisions américaines l'application du décret qui a conduit à la détention de 109 personnes aux frontières et empêché environ 200 personnes de prendre leur vol pour les Etats-Unis.
Le porte-parole de la Maison Blanche, Sean Spicer, a indiqué que sur les 325.000 étrangers arrivés aux Etats-Unis samedi, seules "109 personnes" ont subi des contrôles renforcés afin de "s'assurer que les gens que nous laissons entrer dans notre pays viennent avec des intentions pacifiques", a-t-il déclaré dimanche sur la chaîne ABC.
"Nous ne voulons pas laisser s'infiltrer quelqu'un qui cherche à nous nuire. C'est tout. Je sais que dans certains cas cela va causer des inconvénients", a-t-il ajouté. Environ 200 autres personnes ont été empêchées d'embarquer vers les Etats-Unis, selon la Conseillère de Donald Trump, Kellyanne Conway dans l'émission Fox News Sunday.
Sean Spicer a justifié l'absence d'annonce préalable qui a conduit à une situation chaotique dans les aéroports américains, en particulier à New York, par la nécessité de "s'assurer que les gens n'arrivent pas en masse avant que (le décret) se mette en place".)
Le décret signé par Donald Trump a mis en place de sévères restrictions dans l'accès au territoire américain et des "vérifications extrêmes" à l'encontre des ressortissants de sept pays musulmans (Syrie, Libye, Soudan, Iran, Irak, Somalie et Yémen).
Samedi soir, un juge fédéral américain avait donné partiellement raison à des ONG qui contestaient le décret anti-réfugié signé par Donald Trump samedi soir, en empêchant l'expulsion des personnes interpellées de- puis vendredi en vertu de ce décret.
Selon un document du tribunal fédéral , la juge fédérale de Brooklyn, Ann Donnelly, qui avait été saisie par plusieurs associations de défense des droits de l'homme dont la puissante ACLU, a ordonné aux autorités américaines de ne procéder à aucune expulsion de ressortissants des sept pays musulmans concernés par le décret - Iran, Irak, Yémen, Somalie, Libye, Syrie, Soudan - disposant des papiers les autorisant à entrer aux Etats-Unis.
DAKARACTU
Le porte-parole de la Maison Blanche, Sean Spicer, a indiqué que sur les 325.000 étrangers arrivés aux Etats-Unis samedi, seules "109 personnes" ont subi des contrôles renforcés afin de "s'assurer que les gens que nous laissons entrer dans notre pays viennent avec des intentions pacifiques", a-t-il déclaré dimanche sur la chaîne ABC.
"Nous ne voulons pas laisser s'infiltrer quelqu'un qui cherche à nous nuire. C'est tout. Je sais que dans certains cas cela va causer des inconvénients", a-t-il ajouté. Environ 200 autres personnes ont été empêchées d'embarquer vers les Etats-Unis, selon la Conseillère de Donald Trump, Kellyanne Conway dans l'émission Fox News Sunday.
Sean Spicer a justifié l'absence d'annonce préalable qui a conduit à une situation chaotique dans les aéroports américains, en particulier à New York, par la nécessité de "s'assurer que les gens n'arrivent pas en masse avant que (le décret) se mette en place".)
Le décret signé par Donald Trump a mis en place de sévères restrictions dans l'accès au territoire américain et des "vérifications extrêmes" à l'encontre des ressortissants de sept pays musulmans (Syrie, Libye, Soudan, Iran, Irak, Somalie et Yémen).
Samedi soir, un juge fédéral américain avait donné partiellement raison à des ONG qui contestaient le décret anti-réfugié signé par Donald Trump samedi soir, en empêchant l'expulsion des personnes interpellées de- puis vendredi en vertu de ce décret.
Selon un document du tribunal fédéral , la juge fédérale de Brooklyn, Ann Donnelly, qui avait été saisie par plusieurs associations de défense des droits de l'homme dont la puissante ACLU, a ordonné aux autorités américaines de ne procéder à aucune expulsion de ressortissants des sept pays musulmans concernés par le décret - Iran, Irak, Yémen, Somalie, Libye, Syrie, Soudan - disposant des papiers les autorisant à entrer aux Etats-Unis.
DAKARACTU