Autres articles
-
Gambie : Ousmane Sonko chez Adama Barrow
-
La Ville de Dakar convoque une session du Conseil municipal après la démission annoncée du Maire Barthélémy Toye Diaz
-
Interdiction « Fëgg diaye » : Le démenti-confirmation du ministre du Commerce
-
Radié de l’Assemblée : Barthélémy Dias manœuvre en coulisses
-
Mandat contesté : Barth riposte, « Je suis maire, pas coupable d’un dictionnaire mal interprété »
Mes chers frères, on a déjà vécu un tel précédent.
Ce qui se profile ressemble à un remake de ce qui était arrivé au président Abdou Diouf à qui on avait assuré qu'il serait élu au 1er tour de la présidentielle de 2000.
On va droit vers un suicide politique pour l'ensemble des responsables du parti qui devront en répondre devant les militants.
Abdou Diouf n'était ni moins populaire ni moins puissant qu’Abdoulaye Wade aujourd’hui. Et pourtant, il avait été battu malgré toutes les assurances et promesses brandies par les nombreux responsables socialistes de l'époque.
Mes chers frères, les mêmes causes auront les mêmes effets.
Aussi je vous en conjure. Je vous supplie, au nom de l'intérêt supérieur du parti et de la paix publique, de ne pas investir le frère Abdoulaye Wade. Il n'a plus rien à perdre, mais il nous perdra tous si vous l'investissez.
Je suis en mesure d'assurer la charge de vous conduire à la victoire si vous m’investissez de votre confiance.
Je ne peux malheureusement vous dire plus, sinon prier le bon Dieu, de vous éclairer et vous donner la force d'avoir le dernier sursaut que donnent la lucidité et la foi.
Que Dieu sauve le PDS.
Que Dieu sauve le Sénégal.
Ce qui se profile ressemble à un remake de ce qui était arrivé au président Abdou Diouf à qui on avait assuré qu'il serait élu au 1er tour de la présidentielle de 2000.
On va droit vers un suicide politique pour l'ensemble des responsables du parti qui devront en répondre devant les militants.
Abdou Diouf n'était ni moins populaire ni moins puissant qu’Abdoulaye Wade aujourd’hui. Et pourtant, il avait été battu malgré toutes les assurances et promesses brandies par les nombreux responsables socialistes de l'époque.
Mes chers frères, les mêmes causes auront les mêmes effets.
Aussi je vous en conjure. Je vous supplie, au nom de l'intérêt supérieur du parti et de la paix publique, de ne pas investir le frère Abdoulaye Wade. Il n'a plus rien à perdre, mais il nous perdra tous si vous l'investissez.
Je suis en mesure d'assurer la charge de vous conduire à la victoire si vous m’investissez de votre confiance.
Je ne peux malheureusement vous dire plus, sinon prier le bon Dieu, de vous éclairer et vous donner la force d'avoir le dernier sursaut que donnent la lucidité et la foi.
Que Dieu sauve le PDS.
Que Dieu sauve le Sénégal.