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Pour la première fois dans l’histoire de l’élection du chef de l’organisation continentale, un débat est organisé pour jauger les candidats. Ils sont au nombre de cinq pour un fauteuil : Abdoulaye Bathily, représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies pour l’Afrique centrale et chef du bureau régional des Nations Unies pour l’Afrique centrale, Amina Mohamed, ministre kényane des Affaires étrangères, celle du Tchad Moussa Faki Mahamat, les outsiders que sont l‘Équato-Guinéen Agapito Mba et le Botwanais Pelonomi Venson-Moitoi.
En trois minutes, à l’extrême droite de la scène, face au journaliste modérateur Girum Chala, le Sénégalais a fait la synthèse de son programme, à l’image de ses adversaires, soulignant les réformes multi sectorielles nécessaires à une bonne marche de l’Union africaine.
« Je voudrais mettre mon expérience personnelle d’ancien leader de mouvement étudiant, d’ancien membre de gouvernements du Sénégal, de professeur d’université ainsi qu’au sein des Nations unies au service de l’Union Africaine », a lancé le candidat sénégalais, soutenu par la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao).
Particulièrement dynamique derrière son pupitre, il enchaîne sur les points qui lui paraissent essentiels pour convaincre. « L’Afrique a besoin de faire face aux défis du monde moderne, de sorte de devenir un grand acteur sur la scène mondiale », dit-il. Pour ce qui de la jeunesse africaine, un des points du débat, Abdoulaye Bathily dira : « elle a besoin d’espoir et de renaissance culturelle ». Pour l’ancien leader de la Ligue démocratique, « la question des jeunes et des femmes est une question de civilisation et non seulement de minorité ».
Bathily, habitué aux débats publics politiques dans sa carrière, a cherché à imposer une stature plus présidentielle et diplomatique dans la partie du débat consacrée à la paix et à la sécurité, misant notamment sur l’aspect économique pour prévenir tout conflit.
« Nous devons promouvoir la démocratie dans nos États et par là notre développement économique. C’est la meilleure solution », martèle-t-il. Pour ce premier débat, les chiffres estiment à plus de 10 millions le nombre de personnes ayant suivi en temps réel ce premier Mjadala (débats en Swahili, une des langues officielles de l’organisation). « Bien joué Monsieur le Président ! Dieu vous bénisse », s’est exclamé le parlement des jeunes de la Cedeao
Source : LigneDirecte
En trois minutes, à l’extrême droite de la scène, face au journaliste modérateur Girum Chala, le Sénégalais a fait la synthèse de son programme, à l’image de ses adversaires, soulignant les réformes multi sectorielles nécessaires à une bonne marche de l’Union africaine.
« Je voudrais mettre mon expérience personnelle d’ancien leader de mouvement étudiant, d’ancien membre de gouvernements du Sénégal, de professeur d’université ainsi qu’au sein des Nations unies au service de l’Union Africaine », a lancé le candidat sénégalais, soutenu par la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao).
Particulièrement dynamique derrière son pupitre, il enchaîne sur les points qui lui paraissent essentiels pour convaincre. « L’Afrique a besoin de faire face aux défis du monde moderne, de sorte de devenir un grand acteur sur la scène mondiale », dit-il. Pour ce qui de la jeunesse africaine, un des points du débat, Abdoulaye Bathily dira : « elle a besoin d’espoir et de renaissance culturelle ». Pour l’ancien leader de la Ligue démocratique, « la question des jeunes et des femmes est une question de civilisation et non seulement de minorité ».
Bathily, habitué aux débats publics politiques dans sa carrière, a cherché à imposer une stature plus présidentielle et diplomatique dans la partie du débat consacrée à la paix et à la sécurité, misant notamment sur l’aspect économique pour prévenir tout conflit.
« Nous devons promouvoir la démocratie dans nos États et par là notre développement économique. C’est la meilleure solution », martèle-t-il. Pour ce premier débat, les chiffres estiment à plus de 10 millions le nombre de personnes ayant suivi en temps réel ce premier Mjadala (débats en Swahili, une des langues officielles de l’organisation). « Bien joué Monsieur le Président ! Dieu vous bénisse », s’est exclamé le parlement des jeunes de la Cedeao
Source : LigneDirecte