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Vote de confiance : Sonko va passer à l’acte
SENXIBAR-De sources bien informées, des émissaires du Palais de la République, ont donné des mallettes d’argent à des factions de combattants du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc) pour qu’elles ne perturbent pas le scrutin du 26 février dernier.
Seulement, il y a des combattants qui n’ont pas vu la couleur de l’argent. C’est pourquoi, ils ont manifesté leur colère. Et ce sont les populations du Blouf qui en ont fait les frais. Pour déposer le matériel de vote, la veille, l’armée a dû affronter les combattants du Mfdc qui ont mis à exécution leur menace d’empêcher le vote des populations de la Casamance.
«Les militaires progressaient dans les villages, après avoir repoussé les combattants. Et les urnes sont déposées dans les centres de vote, après la sécurisation des lieux. La progression de l’armée était difficile. Il y a des zones qu’elle n’a pu sécuriser. C’est le cas de Diatock où les populations attendaient les urnes pour accomplir leur devoir civique. Des populations qui voulaient voter, mais les conditions de sécurité n’étaient pas réunies. L’armée ne pouvait arriver à Diatock pour déposer les urnes du fait de l’opposition des combattants. Les populations de Diatock se sont senties exclues du Sénégal, c’est du moins ce que nous ont dit certaines au téléphone. C’était pathétique !», rapportent nos sources.
A l’arrivée, Vingt-six (26) lieux de vote sur les cinquante n’ont ouvert les portes dans le Tendouck (25 bureaux de vote) et à Diokadir (un bureau de vote), dans l’arrondissement de Sindian.
Les militaires n’ont pu arriver à Tendouck qu’aux environs de 18 heures, après d’âpres échanges de tirs avec les combattants du Mfdc. C’est pourquoi, le vote a été prolongé dans cette localité du Blouf.
Rappelons, que les autorités étatiques avaient reçu l’information, trois mois avant la campagne, que les combattants étaient en train de recruter de nouveaux adhérents ; qu’ils faisaient le porte à porte pour mettre en garde les populations qui iront voter.
Elles savaient que depuis le début des opérations de ratissages dans le Nord Sindian, que de nombreuses bandes de combattants se sont repliées à la frontière avec la Guinée-Bissau et dans le Blouf qui était réputé calme et où il n’existe pratiquement plus de cantonnement militaire. Certains combattants ont préféré traverser la frontière gambienne.
Notons que les actions entreprises par le Palais dans le maquis se font à l’insu de personnalités très influentes de la région de la Casamance naturelle. Ce comportement des autorités du Palais qui crée des frustrations dans les rangs des combattants du Mfdc, fait que les factions se démultiplient.
Seulement, il y a des combattants qui n’ont pas vu la couleur de l’argent. C’est pourquoi, ils ont manifesté leur colère. Et ce sont les populations du Blouf qui en ont fait les frais. Pour déposer le matériel de vote, la veille, l’armée a dû affronter les combattants du Mfdc qui ont mis à exécution leur menace d’empêcher le vote des populations de la Casamance.
«Les militaires progressaient dans les villages, après avoir repoussé les combattants. Et les urnes sont déposées dans les centres de vote, après la sécurisation des lieux. La progression de l’armée était difficile. Il y a des zones qu’elle n’a pu sécuriser. C’est le cas de Diatock où les populations attendaient les urnes pour accomplir leur devoir civique. Des populations qui voulaient voter, mais les conditions de sécurité n’étaient pas réunies. L’armée ne pouvait arriver à Diatock pour déposer les urnes du fait de l’opposition des combattants. Les populations de Diatock se sont senties exclues du Sénégal, c’est du moins ce que nous ont dit certaines au téléphone. C’était pathétique !», rapportent nos sources.
A l’arrivée, Vingt-six (26) lieux de vote sur les cinquante n’ont ouvert les portes dans le Tendouck (25 bureaux de vote) et à Diokadir (un bureau de vote), dans l’arrondissement de Sindian.
Les militaires n’ont pu arriver à Tendouck qu’aux environs de 18 heures, après d’âpres échanges de tirs avec les combattants du Mfdc. C’est pourquoi, le vote a été prolongé dans cette localité du Blouf.
Rappelons, que les autorités étatiques avaient reçu l’information, trois mois avant la campagne, que les combattants étaient en train de recruter de nouveaux adhérents ; qu’ils faisaient le porte à porte pour mettre en garde les populations qui iront voter.
Elles savaient que depuis le début des opérations de ratissages dans le Nord Sindian, que de nombreuses bandes de combattants se sont repliées à la frontière avec la Guinée-Bissau et dans le Blouf qui était réputé calme et où il n’existe pratiquement plus de cantonnement militaire. Certains combattants ont préféré traverser la frontière gambienne.
Notons que les actions entreprises par le Palais dans le maquis se font à l’insu de personnalités très influentes de la région de la Casamance naturelle. Ce comportement des autorités du Palais qui crée des frustrations dans les rangs des combattants du Mfdc, fait que les factions se démultiplient.