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Dans son intervention lors du vote du budget du ministère de la famille, le député Omar Ndoye véritable lutteur contre le viol et les agressions sexuelle faite sur les mineurs, d’interpeller le ministre de la famille sur un phénomène qui hante le pays. «Aujourd’hui il faut absolument élaborer, dans ce pays, des centres de redressement pour les filles. Il faut qu’on les apprenne les valeurs sociaux et les inculquer de nouveau, les vertus des bonnes mœurs», a dit le député. Car, ajoute-t-il, ces filles ne font que chanter, arnaquer des hommes et au finish cela ne leur coute aucune sanction. Leur stratégie, développe Monsieur Ndoye, «est de cacher leur âge à leurs prédateurs. Après avoir accomplie le forfait, elles leur disent qu’elles sont des mineurs. Si on les traduit a la justice, on libère ensuite. Cela n’est pas normal». Aida Mbodj de répondre : «Je vais demander de mener une enquête sur les filles dévergondée. Elle ne crie plus quand on les viole. Quand on violait les femmes de Nder, elles se suicidaient. Elles étaient des références. Mais le constat aujourd’hui est nos filles quand on viole, elles ne crient même pas. C’est grave », regrette Aida Mbodj. Une anecdote, rencontre Mme le ministre, une fille a eu le numéro d’un journaliste qu’elle harcelait. Apres enquête, elle nous a révélé comment elle eu le numéro. Et audacieuse, elle dit a l’homme depuis longtemps, je disais de bonne choses tu ne disais rien».