-
Émeutes au Royaume-Uni: la communauté musulmane sous tension, les mosquées protégées
-
Israël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et NetanyahuIsraël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et NetanyahuIsraël condamne une experte de l'ONU comparant Hitler et Netanyahu
-
Les figures démocrates saluent la décision de Joe Biden, les républicains appellent à sa démission
-
Affaire 1xbet : Le verdict est tombé pour Samuel Eto’o
-
Manifestations au Kenya: le président Ruto annonce le retrait du projet de budget
Même si les hors-la-loi ont été arrêtés, la réussite de leur hold-up informatique est la preuve que la cybercriminalité prend de l’ampleur dans le pays.Pour que pareille situation ne se reproduise plus, la Côte d’Ivoire s’est lancé dans la sécurisation de son secteur informatique. La traque de ceux qui posent des actes répréhensibles sur le net a été ouverte. Elle menée par la Plate-forme de lutte contre la criminalité (PLCC) mise en place sur instruction du Ministère des technologies de l’information et de la communication. C’est le fruit de la collaboration entre l'Agence des télécommunications de Côte d’Ivoire (ATCI), la police nationale et le parquet. La gendarmerie et la Douane pourraient s’ajouter à cette force anti-cybercriminalité.
Mise en service en 2011, la PLCC peut être saisie par toute victime. Les requêtes peuvent êtres faites par mail, fax, téléphone ou encore physiquement en se présentant dans les locaux de la DITT. Près de 70 à 80 plaintes sont enregistrées par semaine.
webnews