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« Les élections législatives auront lieu le 18 décembre, en un tour à la majorité relative », a précisé Bruno Koné. Les bureaux de vote ouvriront à 8h et fermeront à 18h, a-t-il ajouté.
Plus de 6,4 millions d’électeurs – 3 259 270 d’hommes et 3 180 606 de femmes – seront à nouveau appelés aux urnes, selon la liste électorale remise fin août aux partis par la Commission électorale indépendante (CEI).
Élaboration des têtes de listes
Cette officialisation était très attendue : l’opposition ivoirienne s’était récemment inquiétée de l’absence de calendrier électoral concernant les élections législatives. En 2011, celles-ci avaient par ailleurs été massivement remportées par la coalition au pouvoir.
L’opposition, qui a boycotté le référendum du dimanche 30 octobre sur le projet de nouvelle Constitution, devrait en revanche être présente en décembre pour ces élections. Reste désormais à organiser leurs troupes. « Il faut se mettre d’accord pour aller ensemble aux législatives, en mettant de côté les désaccords », déclarait récemment à Jeune Afrique Pascal Affi N’Guessan, le patron du FPI, parti scindé en deux tendances.
L’élaboration des têtes de listes pourrait également susciter quelques remous au sein de la coalition au pouvoir. Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) d’Henri Konan Bédié et le Rassemblement des républicains (RDR) d’Alassane Ouattara pourraient en effet envisager des candidatures communes sous la bannière du Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix, (RHDP, coalition au pouvoir). Au risque de froisser certains de leurs cadres, peu enclins à laisser leur place à un autre candidat.
Plus de 6,4 millions d’électeurs – 3 259 270 d’hommes et 3 180 606 de femmes – seront à nouveau appelés aux urnes, selon la liste électorale remise fin août aux partis par la Commission électorale indépendante (CEI).
Élaboration des têtes de listes
Cette officialisation était très attendue : l’opposition ivoirienne s’était récemment inquiétée de l’absence de calendrier électoral concernant les élections législatives. En 2011, celles-ci avaient par ailleurs été massivement remportées par la coalition au pouvoir.
L’opposition, qui a boycotté le référendum du dimanche 30 octobre sur le projet de nouvelle Constitution, devrait en revanche être présente en décembre pour ces élections. Reste désormais à organiser leurs troupes. « Il faut se mettre d’accord pour aller ensemble aux législatives, en mettant de côté les désaccords », déclarait récemment à Jeune Afrique Pascal Affi N’Guessan, le patron du FPI, parti scindé en deux tendances.
L’élaboration des têtes de listes pourrait également susciter quelques remous au sein de la coalition au pouvoir. Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) d’Henri Konan Bédié et le Rassemblement des républicains (RDR) d’Alassane Ouattara pourraient en effet envisager des candidatures communes sous la bannière du Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix, (RHDP, coalition au pouvoir). Au risque de froisser certains de leurs cadres, peu enclins à laisser leur place à un autre candidat.