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En 2014, la Finlande conserve son rang de meilleur élève, en occupant pour la quatrième année consécutive la première place du classement, indique RSF sur sa page Internet. Elle est talonnée, comme dans la dernière édition, par les Pays-Bas et la Norvège.
‘’A l’extrême opposé, en queue de classement, le +trio infernal+ réunit à nouveau le Turkménistan, la Corée du Nord et l’Érythrée, des pays où la liberté de la presse est tout simplement inexistante’’, signale l’ONG qui a établi le classement de 180 pays contre 179 l’année précédente.
En Afrique de l’ouest, mentionne le classement, ‘’conflits et menaces terroristes fragilisent la presse’’.
Le classement 2014 ‘’souligne logiquement la corrélation négative entre un conflit – ouvert ou non déclaré – et la liberté d’information’’, ajoutant que dans un contexte d’instabilité, ‘’les médias sont des objectifs et des cibles stratégiques pour les groupes ou individus qui tentent de contrôler l’information’’.
RSF déplore ainsi ‘’une ’violation des garanties apportées par les textes internationaux, en particulier l’article 19 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, les conventions de Genève de 1949 et leurs protocoles additionnels I et II de 1977’’. Le rapport cite la Syrie, l’Irak et l’Iran.
Selon RSF, ‘’les chutes du Mali (122e, -22) et de la République centrafricaine (109e, -34) illustrent également cette corrélation négative’’.
‘’Les guerres ouvertes ou intestines qui déstabilisent la République démocratique du Congo (151e, -8), tout comme les actions de guérillas et de groupes terroristes en Somalie (176e, 0) et au Nigeria (112e, +4) ne contribuent pas à améliorer leur classement’’, souligne l’ONG.
APS