Autres articles
-
Technologie : WhatsApp cessera de fonctionner sur des millions de téléphones à partir du 1er février.
-
Le Sénégal occupe la 7ème place de la liberté de la presse en Afrique
-
Résultats de la presidentielle: les journalistes avaient raison
-
Journalistes-politiciens passés à la loupe par des spécialistes : Réquisitoire !
-
Musique-Télévisions: La télévision du Groupe de presse de Coumba Gawlo très bientôt opérationnelle, annonce l'artiste
"Nous avons voulu avec la création de Dakaractu.com faire accéder les sénéglais à cette nouvelle forme d'investigations en ligne dans le but d'éclairer l'opinion de notre pays comme de la Diaspora."Ces propos sont tenus par le journaliste d'investigations Cheikh Yérim Seck. D'après l'ancien collaborateur du magazine Jeune Afrique qui faisait face à la presse, l'arrivée de Dakaractu dans le secteur des sites d'informations a permis d'atteindre très vite une position de média influent.Pour étayer son argument, M. Seck a révélé que l'impact de Dakaractu et son influence de plus en plus grande expliquent souvent la réaction épidermique de certains mis en cause par les révélations du site. Toutefois, CYS déclare avoir le coeur déchiré après le limogeage de Mouhamed Henri Sarre qui dirigeait l'Agence de presse sénégalaise (APS) parce que celui-ci avait refusé d'exécuter une instruction à savoir démentir un article paru sur le site de Dakaractu. Cependant le journaliste défie ceux qui voudront lui faire taire. Pour M. Seck ses détracteurs doivent redoubler d'efforts pour le contrecarrer car il a en possession une avalanche de documents confidentiels et informations qui ne sont pas publiés jusqu'ici. Mais promet à ses lecteurs de les deverser d'ici février 2012. Pour revenir sur son différend avec Serigne Mboup, il soutient ne lui avoir pas parlé depuis la dernière foire internationale de Dakar et nie tout partenariat avec la personne pour lui arracher quoi que ce soit. Au contraire, Cheikh Yérim affirme que "Serigne Mboup me doit de l'argent dans le cadre d'une collaboration d'insertion de publicité." Concernant l'article qui a fait l'objet de polémique entre les deux "ex-amis", Yérim réitère n'avoir rien inventé car il détient les preuves et les documents lui permettant de rédiger son article. Même si des relations cordiales existaient entre les deux personnes, tout semble voler désormais en éclats avec deux plaintes qui vont atterrir devant le juge. Une autre question soulevée par le journaliste concerne son départ du magazine Jeune Afrique. D'après lui, son départ dudit magazine est lié à un plan de carrière et non à un licenciement c'est la raison pour laquelle il a signé une convention de rupture de son contrat à durée indéterminée. En revanche Cheikh Yérim précise entretenir toujours des relations excellentes avec son ex-patron, Béchir Ben Yahmed. Et dit: " Si je suis connu aujourd"hui c'est grâce à lui. Il m'a toujours protégé et il reste un père pour moi."