Revenant sur ses débuts avec la famille Wade, Cheikh Diallo déclare : «en 2000, lors de la campagne électorale, j’ai été recruté au soleil par El Hadji Kassé. J’étais parmi les plus jeunes reporters dans le convoi. Dans ma rédaction personne ne voulait couvrir Wade car, tout le monde croyait que c’était une candidature vouée à l’échec». A cause de mon jeune âge et avec les questions qu’il lui posait, le Président Wade aura une main protectrice sur lui et commence à suivre ses écrits. «Un jour il m’a invité à passer la jour- née avec lui. C’était captivant. Il m’a beaucoup appris comme ne pas s’asseoir sur le coudoie des chaises. C’est moi qui l’ai avisé le premier du volte-face de Djibo car, j’avais la latitude d’entrer dans sa chambre », confie-t-il.
Avant d’affirmer: « avec la presse, j’ai été atteint par le syndrome de Stockholm. Après l’élection, j’ai appuyé momentanément Momar Thiam.
Plus tard, j’ai eu des problèmes avec le super ministre d’Etat Idrissa Seck, l’insupportable Idrissa seck, qui m’avait fermé les grilles du Palais à cause d’un article paru dans ‘’Tract’’». Finalement, «l’intelligent homme» réussit à réintégrer le Palais et couvrait les activités du chef de l’Etat. Selon lui, la reconnexion s’est faite d’elle-même lors d’un voyage officiel. «Quand je lui ai dit que j’allais écrire un livre sur lui, il m’a encouragé.
Certains passages l’ont fortement déplu, mais il n’a pas réussi à me les faire enlever. Karim était au four et au malin et il a constaté la proximité entre son père et moi», dit le témoin. Notant qu’il avait à un moment donné l’«ambition de décrocher un parchemin à la suite de bruits de couloir qui disaient que je ne faisais que signer les éditos de Kassé même si forcément les diplômés ne sont pas les meilleurs journalistes, Cheikh Diallo relèvera : «Je me suis ouvert à Karim Wade, j’avais cru qu’il avait oublié mais, un jour, Victor Kantoussan m’a appelé pour me remettre un billet d’avion en 2004. Quand j’étais en France, je ne voulais pas le déranger et j’ai attendu. Il m’a trouvé un stage pré emploi à lci.
En 2004, il m’a demandé de revenir pour l’aider en travaillant comme conseiller en communication. en 2007, j’ai été le chargé des relations avec la presse pour la campagne de Wade. c’est après que j’ai intégré l’Anoci».
dakaractu
Avant d’affirmer: « avec la presse, j’ai été atteint par le syndrome de Stockholm. Après l’élection, j’ai appuyé momentanément Momar Thiam.
Plus tard, j’ai eu des problèmes avec le super ministre d’Etat Idrissa Seck, l’insupportable Idrissa seck, qui m’avait fermé les grilles du Palais à cause d’un article paru dans ‘’Tract’’». Finalement, «l’intelligent homme» réussit à réintégrer le Palais et couvrait les activités du chef de l’Etat. Selon lui, la reconnexion s’est faite d’elle-même lors d’un voyage officiel. «Quand je lui ai dit que j’allais écrire un livre sur lui, il m’a encouragé.
Certains passages l’ont fortement déplu, mais il n’a pas réussi à me les faire enlever. Karim était au four et au malin et il a constaté la proximité entre son père et moi», dit le témoin. Notant qu’il avait à un moment donné l’«ambition de décrocher un parchemin à la suite de bruits de couloir qui disaient que je ne faisais que signer les éditos de Kassé même si forcément les diplômés ne sont pas les meilleurs journalistes, Cheikh Diallo relèvera : «Je me suis ouvert à Karim Wade, j’avais cru qu’il avait oublié mais, un jour, Victor Kantoussan m’a appelé pour me remettre un billet d’avion en 2004. Quand j’étais en France, je ne voulais pas le déranger et j’ai attendu. Il m’a trouvé un stage pré emploi à lci.
En 2004, il m’a demandé de revenir pour l’aider en travaillant comme conseiller en communication. en 2007, j’ai été le chargé des relations avec la presse pour la campagne de Wade. c’est après que j’ai intégré l’Anoci».
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