Avec nos partenaires Tour-opérateurs européens, nous attendons du nouveau ministre de la culture et du tourisme, d’abord, la relance du tourisme sénégalais. Nous avons besoin d’une personne qui fait bouger la presse internationale, le tourisme équitable dans tous ses aspects. Il devrait, dans un premier temps, faciliter l’aide au retour des immigrés qui dépensent beaucoup d’argent pour l’achat de leur billet de famille. D’après les affréteurs, les taxes aériennes à partir du Sénégal sont importantes et leur utilisation reste « opaque », en dehors des taxes dites « Chirac ».
Ces mêmes familles sont confrontées aux problèmes des vols lors des escales. Notons que beaucoup d’entre eux voyagent avec des enfants et, comme il n’existe presque plus de vol directs à partir des villes de province, et moins de Paris, ils voyagent dans des conditions très difficiles. Par exemple, de nos jours on ne peut pas compter sur notre compagnie nationale.
Dés lors un certain nombre de questions se posent : pourquoi ne pas trouver un bon partenariat avec les grands affréteurs ? Ne devrons nous pas compter sur un système de leasing d’une flotte qui porte juste le nom (SENEGAL)……... et quelque chose ?
Les touristes se plaignent des vendeurs à la sauvette qui gâchent l’image des antiquaires et vendeurs d’objets d’art de Saly et d’ailleurs. Ces derniers, à force de vouloir vendre leurs marchandises, souvenirs du pays et autres gadgets agressent les visiteurs, qui attendent plutôt un accueil chaleureux de notre pays. Pour améliorer cette situation, il faudrait une meilleure surveillance du système et davantage de moyens : vitrines, emplacements, règlementation afin de valoriser leur métier, amoindrir les taxes des réceptifs locaux, sécuriser leur métier, agréer des guides locaux en renforçant leur formation en participant à l’amélioration de l’environnement touristique, et du tourisme équitable.
Le tourisme équitable
Le renforcement des excursions et sa sécurisation favorisent le tourisme équitable, car le touriste qui ne sort pas de son hôtel pour aller découvrir les beaux endroits de notre cher pays ne dépense pas. Il serait intéressant de créer une rencontre avec les habitants dans certains endroits, favoriser des échanges de procédés utiles pour les uns et les autres, et développer ainsi la vente de produits locaux.
Il est nécessaire également de veiller à la règlementation des maisons d’hôtes, sur leur confort, afin que ces derniers soient de vrais acteurs du développement du tourisme équitable, et qu’ils soient de réels partenaires des réceptifs locaux qui payent d’énormes taxes. La relance du tourisme, à partir de l’étranger, par le biais des missions diplomatiques est de mise, car il n’existe presque plus d’office du tourisme du Sénégal.
Pour ce faire il suffirait de négocier avec le nouveau ministre des affaires étrangères pour que certains diplomates, déjà en place, puissent représenter le tourisme sénégalais et participer aux salons de tourisme où le Sénégal est absent.
Le tourisme religieux
Souvent des pèlerins sont confrontés à des intermédiaires qui, à la veille des départs pour les lieux saints, rencontrent des difficultés de toute nature. Il faut intensifier la surveillance en exigeant l’inscription, par le biais des agences agréées, et en veillant aux quotas des visas pour le Sénégal attribués par l’Arabie saoudite, et par la CEE (ceci afin d éviter, après toutes démarches administratives et autres la privation de visas à la fin).
La mission du pèlerinage
Elle doit être gérée par de vrais professionnels de la santé, et encadrée par des équipes de la Croix-Rouge de toutes les régions. Cela serait une manière de les récompenser quant à leurs efforts durant toute l’année et lors de toutes les manifestations. Tous les corps de métier utiles doivent être représentés afin d’éviter des choix politiques .L’intérêt du pèlerin doit être la première préoccupation. On ne peut parler de pèlerinage sans parler de transport aérien. Il est nécessaire de lancer un appel d’offres et le bon choix doit être celui du futur HAJ. Sans cela, ne il ne peut avoir de concurrence ayant un impact sur le prix du billet.
Nous savons bien que le pèlerinage est organisé par le ministère des affaires étrangères, mais c’est avant tout une forme de tourisme et il doit bénéficier, à ce titre, des bonnes conditions qu’exige un voyage organisé régulé par l’O.M.T et I.A.T.A.
Mais tout commence à l’aéroport ! L’accueil est souvent mal vécu de la part de certains services : les longues files d’attente (à cause d’un guichet non ouvert, une pause pour boire son café, une fiche mal remplie de la part de certains passagers obligés de demander de l’aide). Ces derniers méritent aide et tolérance. Sans parler des carnets de vaccinations, exigés souvent aux Français, il faut relever le fait que la fièvre jaune ne soit plus obligatoire. Certains demandent quelque chose à ces derniers pour les libérer au retour.
Makhtar DIOUF
Directeur Ajdd Tourisme équitable
(Agir avec les Jeunes pour le Développement Durable)
Lyon-France
ajdd.tourismeequitable@gmail.com
Ces mêmes familles sont confrontées aux problèmes des vols lors des escales. Notons que beaucoup d’entre eux voyagent avec des enfants et, comme il n’existe presque plus de vol directs à partir des villes de province, et moins de Paris, ils voyagent dans des conditions très difficiles. Par exemple, de nos jours on ne peut pas compter sur notre compagnie nationale.
Dés lors un certain nombre de questions se posent : pourquoi ne pas trouver un bon partenariat avec les grands affréteurs ? Ne devrons nous pas compter sur un système de leasing d’une flotte qui porte juste le nom (SENEGAL)……... et quelque chose ?
Les touristes se plaignent des vendeurs à la sauvette qui gâchent l’image des antiquaires et vendeurs d’objets d’art de Saly et d’ailleurs. Ces derniers, à force de vouloir vendre leurs marchandises, souvenirs du pays et autres gadgets agressent les visiteurs, qui attendent plutôt un accueil chaleureux de notre pays. Pour améliorer cette situation, il faudrait une meilleure surveillance du système et davantage de moyens : vitrines, emplacements, règlementation afin de valoriser leur métier, amoindrir les taxes des réceptifs locaux, sécuriser leur métier, agréer des guides locaux en renforçant leur formation en participant à l’amélioration de l’environnement touristique, et du tourisme équitable.
Le tourisme équitable
Le renforcement des excursions et sa sécurisation favorisent le tourisme équitable, car le touriste qui ne sort pas de son hôtel pour aller découvrir les beaux endroits de notre cher pays ne dépense pas. Il serait intéressant de créer une rencontre avec les habitants dans certains endroits, favoriser des échanges de procédés utiles pour les uns et les autres, et développer ainsi la vente de produits locaux.
Il est nécessaire également de veiller à la règlementation des maisons d’hôtes, sur leur confort, afin que ces derniers soient de vrais acteurs du développement du tourisme équitable, et qu’ils soient de réels partenaires des réceptifs locaux qui payent d’énormes taxes. La relance du tourisme, à partir de l’étranger, par le biais des missions diplomatiques est de mise, car il n’existe presque plus d’office du tourisme du Sénégal.
Pour ce faire il suffirait de négocier avec le nouveau ministre des affaires étrangères pour que certains diplomates, déjà en place, puissent représenter le tourisme sénégalais et participer aux salons de tourisme où le Sénégal est absent.
Le tourisme religieux
Souvent des pèlerins sont confrontés à des intermédiaires qui, à la veille des départs pour les lieux saints, rencontrent des difficultés de toute nature. Il faut intensifier la surveillance en exigeant l’inscription, par le biais des agences agréées, et en veillant aux quotas des visas pour le Sénégal attribués par l’Arabie saoudite, et par la CEE (ceci afin d éviter, après toutes démarches administratives et autres la privation de visas à la fin).
La mission du pèlerinage
Elle doit être gérée par de vrais professionnels de la santé, et encadrée par des équipes de la Croix-Rouge de toutes les régions. Cela serait une manière de les récompenser quant à leurs efforts durant toute l’année et lors de toutes les manifestations. Tous les corps de métier utiles doivent être représentés afin d’éviter des choix politiques .L’intérêt du pèlerin doit être la première préoccupation. On ne peut parler de pèlerinage sans parler de transport aérien. Il est nécessaire de lancer un appel d’offres et le bon choix doit être celui du futur HAJ. Sans cela, ne il ne peut avoir de concurrence ayant un impact sur le prix du billet.
Nous savons bien que le pèlerinage est organisé par le ministère des affaires étrangères, mais c’est avant tout une forme de tourisme et il doit bénéficier, à ce titre, des bonnes conditions qu’exige un voyage organisé régulé par l’O.M.T et I.A.T.A.
Mais tout commence à l’aéroport ! L’accueil est souvent mal vécu de la part de certains services : les longues files d’attente (à cause d’un guichet non ouvert, une pause pour boire son café, une fiche mal remplie de la part de certains passagers obligés de demander de l’aide). Ces derniers méritent aide et tolérance. Sans parler des carnets de vaccinations, exigés souvent aux Français, il faut relever le fait que la fièvre jaune ne soit plus obligatoire. Certains demandent quelque chose à ces derniers pour les libérer au retour.
Makhtar DIOUF
Directeur Ajdd Tourisme équitable
(Agir avec les Jeunes pour le Développement Durable)
Lyon-France
ajdd.tourismeequitable@gmail.com