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Toute l'Espagne a retenu hier son souffle en attendant de voir l'évolution de l'état de la jeune espagnole de 27 ans qui a séjourné pendant six mois à Kédougou avant de rejoindre son pays. Selon le ministre de la Santé des îles Baléares (communauté autonome de l'Espagne située à l'est des côtes espagnoles, à hauteur de Valence), la patiente a été testée positive au paludisme. D'autres tests vont être effectués sur la patiente pour déterminer si elle souffre de la fièvre hémorragique à virus Ebola, car elle présente, d'après nos confrères espagnols, des symptômes compatibles avec la maladie. Aussi, avant-hier, après son admission à l'hôpital Mateu Orfila, le protocole de lutte contre la dangereuse fièvre a-t-il été mis en branle. Des échantillons de sang ont été envoyés à l'hôpital Carlos III de Madrid pour confirmer ou exclure une possible infection.
L'Observateur indique qu'un peu plus tard dans la même matinée, la presse espagnole, qui suivait à la minute près cette affaire qui a vite pris l'allure d'une question de sécurité nationale, faisait savoir que la jeune patiente, admise en priorité dans une salle d'isolement, à été évacuée par ambulance aérienne à l'hôpital de Palma. Une nouvelle qui a fait froid dans le dos de plusieurs Espagnols qui ont vite pensé au pire. C'est dans la mi-journée que les résultats des tests sont tombés. Des sources officielles espagnoles de faire une déclaration : "La femme de 27 ans évacuée ce matin à l'hôpital Palma n'est pas atteinte de la maladie hémorragique à virus Ebola. Mais elle souffre de paludisme". Et l'Espagne commença à respirer de nouveau, soulagée. Les professionnels des unités infectieuses de l'hôpital de médecine interne se sont résolus, d'après les autorités sanitaires, à désactiver le protocole contre la suspicion d'un cas possible de maladie à virus Ebola.
L'Observateur indique qu'un peu plus tard dans la même matinée, la presse espagnole, qui suivait à la minute près cette affaire qui a vite pris l'allure d'une question de sécurité nationale, faisait savoir que la jeune patiente, admise en priorité dans une salle d'isolement, à été évacuée par ambulance aérienne à l'hôpital de Palma. Une nouvelle qui a fait froid dans le dos de plusieurs Espagnols qui ont vite pensé au pire. C'est dans la mi-journée que les résultats des tests sont tombés. Des sources officielles espagnoles de faire une déclaration : "La femme de 27 ans évacuée ce matin à l'hôpital Palma n'est pas atteinte de la maladie hémorragique à virus Ebola. Mais elle souffre de paludisme". Et l'Espagne commença à respirer de nouveau, soulagée. Les professionnels des unités infectieuses de l'hôpital de médecine interne se sont résolus, d'après les autorités sanitaires, à désactiver le protocole contre la suspicion d'un cas possible de maladie à virus Ebola.